Le FINA a l'intention de tester de nouveau les prélèvements recueillis auprès de ses nageurs au cours des Championnats du monde de l'été dernier, à Rome, afin de trouver des possibles preuves de dopage sanguin.

Après une réunion à Bangkok, la FINA a déclaré qu'elle examinerait les échantillons pour vérifier la présence de «plastifiants», de petites particules de plastique que l'on retrouve dans les sacs de sang.

En septembre, la FINA a indiqué que les 391 tests antidopages effectués entre le 15 juillet et le 2 août s'étaient avérés négatifs. Un total de 162 échantillons ont été testés pour l'EPO.

La FINA a également dit qu'elle évaluerait l'introduction d'un passeport biologique afin de surveiller le profil sanguin des nageurs. La fédération songe également à entreposer les échantillons pour une période de huit ans après les Championnats du monde pour effectuer des tests ultérieurs.