Plusieurs ont remis en cause l'attitude de Mike McQueary lorsqu'il a vu Jerry Sandusky agresser un jeune garçon sur le campus de l'Université Penn State en 2002.

En effet, selon ce qu'on savait de l'événement, McQueary avait été témoin de l'agression et il avait ensuite avisé Joe Paterno, qui lui, avait avisé les autorités de l'université.



Mais on pouvait se demander pourquoi, sur le moment, McQueary n'avait pas mis fin à l'agression dont il était témoin.



Or, un courriel de McQueary à un ami, daté du 8 novembre, donne une version différente des faits.



Il raconte dans ce courriel qu'il a bel et bien mis fin à l'agression dont il était témoin et qu'ensuite, il a avisé la police et les autorités de l'université.



«I did stop it, not physically... but made sure it was stopped when I left that locker room... I did have discussions with police and with the official at the university in charge of police... no one can imagine my thoughts or wants to be in my shoes for those 30-45 seconds... trust me



Traduction libre: «Je l'ai arrêté (l'agression), pas physiquement... mais je me suis assuré qu'elle s'était arrêtée lorsque j'ai quitté le vestiaire... J'ai eu des discussions avec la police et les autorités de l'université en charge de la sécurité... personne ne peut imaginer ce qui m'a traversé l'esprit ou n'aurait voulu être dans mes souliers pour ces 30-45 secondes... crois-moi.»



McQueary, un témoin clé dans le procès de Sandusky est «crédible» et «constant» dans son témoignage et dans ses déclarations, a affirmé une source à ESPN.



Il devait remplacer Joe Paterno à la barre de l'équipe de football samedi dernier, mais l'université à préféré le garder à l'écart de l'équipe. Il est présentement «tabletté» en attendant qu'une décision soit prise à son sujet...



Il déplore également cette situation dans son courriel: «I am getting hammered for handling this the right way ... or what I thought at the time was right.»



Traduction: «Je me fait rabrouer pour avoir agi correctement ou du moins pour avoir fait ce que je croyais juste sur le moment.»



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Un chandail controversé

Rien à faire: Tim Tebow ne peut éviter la controverse, bien malgré lui. Des partisans ont fait faire des chandails du quart des Broncos, mais ont remplacé le nom «Tebow» à l'arrière par celui de «Jesus», pour souligner la ferveur chrétienne de leur idole. Un geste qui plaît à certain, mais qui déplaît grandement à d'autres...



Big Papi de retour avec les Red Sox


Il semble que les Red Sox de Boston ont assez perdu de plumes depuis la fin de la saison. Il paraît qu'ils travaillent fort pour s'entendre avec David Ortiz et le ramener avec l'équipe l'an prochain...