On aura droit à un duel de choix pour le Super Bowl XLV, le 6 février, alors que deux des franchises «historiques» de la NFL s'affronteront pour la suprématie du football américain.

Hier, les Packers de Green Bay ont d'abord obtenu leur laissez-passer pour la grande finale grâce à une victoire de 21-14 contre les Bears, à Chicago. Dans la Ville des vents, les critiques à l'endroit du quart Jay Cutler n'ont pas tardé. David Haugh, du Chicago Tribune, vient ce matin à la défense de Cutler, que certains ont déjà baptisé Jay «Quitler».

En soirée, les Steelers de Pittsburgh ont résisté à une poussée des Jets de New York en deuxième demie pour remporter une victoire de 24-19 qui leur assurait le titre dans l'Américaine. «Les Jets s'étaient préparés pour Roethlisberger, écrit Mark Viera, du New York Times, mais ils ont été renversés par Mendenhall».

Ainsi, deux des grandes équipes de l'histoire de la NFL croiseront le fer le 6 février prochain. Les Packers, nés en 1921, font partie des équipes fondatrices de la NFL et ont déjà remporté trois fois le Super Bowl. Quant aux Steelers, nés en 1933, ils ont déjà un record de six titres du Super Bowl en main et ils atteignent la finale pour une deuxième fois en trois ans. Un exploit dont le crédit revient largement à l'entraîneur-chef Mike Tomlin, explique Gene Wojciechowski sur ESPN.com.

Peter King nous offre déjà un premier aperçu de ce «classique» à venir sur SI.com. Aussi sur SI.com, une galerie photos des deux rencontres d'hier.

À ne pas manquer aussi, la couverture des deux matchs par mes collègues Miguel Bujold, à Pittsburgh et Richard Labbé, à Chicago.

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Le Canadien et les séries

Si l'on se fie à la toute puissance des formules statistiques, les chances du Canadien de faire les séries sont à 91,5% ce matin.

La fin d'un beau parcours

Issu des qualifications, l'Ontarien Milos Raonic a surpris tout le monde en atteignant les 16es de finale des Internationaux d'Australie. Son beau voyage à Melbourne a cependant pris fin face à David Ferrer, devant qui il s'est incliné en quatre manches de 6-4, 2-6, 3-6 et 4-6.

Le paradoxe de Pacquiao

Manny Pacquiao n'est pas seulement un des meilleurs boxeurs de la planète. C'est aussi un personnage complexe et intrigant, son propre paradoxe, comme l'explique Martin Rogers, sur The Post Game.

«Did you see that?»

Une excellente galerie photos hebdomadaire de SI.com. Vous y trouverez une collection de photos spectaculaires de l'actualité sportive de la semaine.

Photo: AP

Milos Raonic