Une personne âgée obèse en paie peut-être le prix au niveau de son cerveau. Un chercheur californien, Paul Thompson, affirme en effet avoir trouvé un lien entre le tour de taille et... la taille du cerveau. Ce dernier diminuerait en effet de taille, un symptôme associé aux maladies dégénératives propres au vieillissement.

Le chercheur avance donc comme hypothèse que la lutte contre l'obésité pourrait avoir pour effet de prévenir, ou du moins retarder, des maladies comme l'Alzheimer. L'étude ne portait toutefois que sur 94 septuagénaires, et aura certainement une suite avec un plus grand nombre de gens.