La manière dont l'article du 20 juin dernier («Manoir Louisiane: Plusieurs chances accordées à une résidence pour aînés non conforme») présente les faits tend à dire que Cogir ne met pas tout en oeuvre pour assurer la sécurité et le bien-être de ses résidents, que l'Agence de santé et services sociaux de Montréal ne prend pas ses responsabilités en laissant des résidences non certifiées continuer d'accueillir des résidents. Cogir gère 32 résidences dans différentes régions du Québec, dont 21 sont certifiées. Dans la région de Québec et dans l'Est-du-Québec, toutes nos résidences sont certifiées. Sur l'île de Montréal, alors que nos méthodes sont les mêmes qu'ailleurs au Québec, sur 10 résidences, six sont en voie de certification, certaines sont en cours de travaux et d'autres en attente de leur inspection. Évidemment, nous n'avons aucun contrôle sur le calendrier des inspections.  

La manière dont l'article du 20 juin dernier («Manoir Louisiane: Plusieurs chances accordées à une résidence pour aînés non conforme») présente les faits tend à dire que Cogir ne met pas tout en oeuvre pour assurer la sécurité et le bien-être de ses résidents, que l'Agence de santé et services sociaux de Montréal ne prend pas ses responsabilités en laissant des résidences non certifiées continuer d'accueillir des résidents. Cogir gère 32 résidences dans différentes régions du Québec, dont 21 sont certifiées. Dans la région de Québec et dans l'Est-du-Québec, toutes nos résidences sont certifiées. Sur l'île de Montréal, alors que nos méthodes sont les mêmes qu'ailleurs au Québec, sur 10 résidences, six sont en voie de certification, certaines sont en cours de travaux et d'autres en attente de leur inspection. Évidemment, nous n'avons aucun contrôle sur le calendrier des inspections.  

Depuis l'existence du processus de certification des résidences pour personnes âgées, Cogir est en chantier permanent. Uniquement depuis trois ans, plusieurs millions ont été investis pour répondre aux exigences, et ce, au fur et à mesure qu'elles se modifiaient. En se référant au projet de loi 16, il est prévu que le nombre de critères de certification passera de 24 à 56 et que les exigences liées à ces critères seront accrues. Là encore, nous entendons collaborer, comme nous l'avons toujours fait. Nous étions en faveur de la certification lorsqu'elle fut implantée et nous le sommes toujours.

Ainsi, nous contribuons activement à l'amélioration du milieu de vie de nos résidants et nous travaillons positivement à maintenir de bonnes relations avec les différents acteurs, aussi aucune demande ne reste sans réponse ou sans action.

Pour l'avenir, nous pensons que la mise sur pied d'un guichet unique faciliterait grandement la coordination des échanges et l'uniformisation des requêtes par les différents intervenants municipaux et gouvernementaux. Nous souhaitons obtenir un seul interlocuteur pour le processus de certification d'une résidence. D'ici là, nous travaillerons activement dans le respect des moyens et des méthodes actuels.

Il ne se passe pas une journée sans que notre passion du service pour nos aînés ne s'exprime par un geste, une conversation ou une action proactive.

* L'auteur est vice-président exécutif de la Société de gestion COGIR.