Comme tous les matins de semaine, depuis plus d'un an, je roulais dans la voie réservée au transport collectif, avec à bord de mon véhicule mon épouse et mes deux enfants. Quelle ne fut pas ma surprise de me faire arrêter par deux policiers en motocyclette sur le boulevard Gréber, me disant avec un ton autoritaire que j'avais brûlé un feu rouge. Pourtant, j'avais bel et bien respecté le code de la route. Je suis passé lorsque la petite lumière blanche s'est allumée pour laisser circuler les véhicules dans la voie réservée au covoiturage, les autobus et les taxis.

Comme tous les matins de semaine, depuis plus d'un an, je roulais dans la voie réservée au transport collectif, avec à bord de mon véhicule mon épouse et mes deux enfants. Quelle ne fut pas ma surprise de me faire arrêter par deux policiers en motocyclette sur le boulevard Gréber, me disant avec un ton autoritaire que j'avais brûlé un feu rouge. Pourtant, j'avais bel et bien respecté le code de la route. Je suis passé lorsque la petite lumière blanche s'est allumée pour laisser circuler les véhicules dans la voie réservée au covoiturage, les autobus et les taxis.

J'ai expliqué la situation aux policiers et j'étais prêt à leur montrer le signal lumineux destiné à contrôler la voie de droite. Les agents de police ne semblaient pas du tout connaître cette signalisation. Lorsque je leur ai demandé leurs noms, un d'entre eux, avec un ton dirais-je "baveux", a catégoriquement refusé de me le donner.

Par contre, de mon côté, j'ai dû me plier à leurs demandes et leur remettre mon permis de conduire, mes papiers d'enregistrement et attendre de longues minutes pour qu'ils vérifient la conformité de mes documents.

Je trouve déplorable que des policiers ne connaissent pas les lois et les règlements concernant la circulation routière. En plus, ils perdent leur temps à arrêter des gens qui ne font rien de mal alors que les vrais malfaiteurs se la coulent douce.

Clément Bélanger,

Gatineau