L'écho d'un peuple est à l'agonie, mais ne doit pas mourir... car les Franco-Ontariens, dans des situations souvent sans issue savent rebondir. Qu'on se rappelle quand l'enseignement du français était banni par le fameux Règlement XVII. Plus près de nous, SOS Montfort est un autre exemple frappant des ressources inespérées et de la ténacité des Franco-ontariens dans les grandes difficultés.

L'écho d'un peuple est à l'agonie, mais ne doit pas mourir... car les Franco-Ontariens, dans des situations souvent sans issue savent rebondir. Qu'on se rappelle quand l'enseignement du français était banni par le fameux Règlement XVII. Plus près de nous, SOS Montfort est un autre exemple frappant des ressources inespérées et de la ténacité des Franco-ontariens dans les grandes difficultés.

Évidemment, les ennuis actuels de L'écho d'un peuple sont d'un autre ordre, mais réclament la même ténacité, les mêmes talents et le sens du bénévolat et des affaires. Il y a une volonté de changements de cap chez ses dirigeants. Il semblerait qu'on devrait aussi réviser la publicité : une grande photo ne dit pas tout. Les cris du coeur de la correspondante Nicole Charbonneau (L'écho, perte inestimable, LeDroit, 13 août), publiées en petites coupures devraient attirer beaucoup plus de spectateurs. L'objectif est de raconter l'histoire des Franco-ontariens, mais il se vit au sein du groupe de comédiens et de comédiennes, surtout chez les enfants, une histoire humaine remplie d'amour extraordinaire, que le public y gagne à savoir et à admirer.