«On parle de commerces de services (dentiste, coiffure, fleuriste, bureaux, etc.), précise Benoît Gagnon, directeur des ventes pour le Groupe Canvar. Évidemment, il n'y aura ni restaurant ni bar.»
«On parle de commerces de services (dentiste, coiffure, fleuriste, bureaux, etc.), précise Benoît Gagnon, directeur des ventes pour le Groupe Canvar. Évidemment, il n'y aura ni restaurant ni bar.»
L'architecte Éric Huot explique pour sa part que «la façade du bâtiment a été travaillée pour bien distinguer les fonctions commerciales et résidentielles et amener de la légèreté au bâtiment». M. Huot a l'habitude de travailler avec le Groupe Canvar, ayant récemment oeuvré sur deux projets d'envergure: le 1009 de Bleury, une tour d'appartements haut de gamme près du Palais des congrès, et le luxueux Profil-O à la Cité du Havre.
Le Castelbert comptera trois façades: une pour les commerces rue Saint-Hubert, une pour l'entrée du bâtiment résidentiel rue de Castelnau et une autre qui donnera sur une rue résidentielle.
Selon Benoît Gagnon, l'objectif est d'offrir des espaces fonctionnels à des prix raisonnables. «Près de 30 % des unités coûtent moins de 150 000 $ et se qualifient aux subventions pour l'acquisition d'une propriété à prix abordable de la Ville. Pour les autres, ça peut aller jusqu'à 280 000 $.» Le plancher de bois franc est de mise et une finition de base est offerte dans la cuisine et la salle de bains: plancher en céramique, armoires en mélamine, plans de travail en stratifié et dosseret dans la cuisine en céramique. Le troisième étage sera constitué d'appartements possédant une mezzanine et une terrasse privée sur le toit. Tous les autres propriétaires auront aussi accès à un espace commun sur une partie du toit où une terrasse sera aménagée.
Quant à la superficie, elle va du simple au double: 588 pieds carrés pour les plus modestes et 1227 pieds carrés pour les plus grands. «On se devait de créer des logements dans l'optique de gens qui peuvent travailler à la maison», note Éric Huot.
La plupart des logements disposeront d'une aire de travail pouvant servir de bureau à domicile, d'atelier ou même de chambre secondaire.
Cette stratégie a déjà donné de bons résultats puisque 30 % de l'espace est vendu, annonce Benoît Gagnon. «On a reçu des offres et réalisé des ventes auprès de gens qui habitent dans le secteur. Plusieurs étaient même locataires.» Si tout se passe comme prévu, leur nouvelle demeure sera prête au début de la prochaine année.
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Pour en savoir plus: www.castelbert.com