Dans environ six mois, les premiers acheteurs pourront emménager dans ce projet d'appartements en copropriété unique à Montréal. «Il ne reste que huit unités sur les 46, mais c'est une bonne variété: appartements, maison de ville et appartement-terrasse», dit Sol Luger, fondateur du Groupe Luger, partenaire avec Westcliff dans Aménagements Beauxarts. M. Luger est satisfait des ventes et de l'évolution du projet, qui n'a pas subi de refonte majeure depuis son lancement il y a un peu plus de deux ans.

Dans environ six mois, les premiers acheteurs pourront emménager dans ce projet d'appartements en copropriété unique à Montréal. «Il ne reste que huit unités sur les 46, mais c'est une bonne variété: appartements, maison de ville et appartement-terrasse», dit Sol Luger, fondateur du Groupe Luger, partenaire avec Westcliff dans Aménagements Beauxarts. M. Luger est satisfait des ventes et de l'évolution du projet, qui n'a pas subi de refonte majeure depuis son lancement il y a un peu plus de deux ans.

Les futurs résidants auront déboursé au moins 500 000 $, mais souvent plus d'un million de dollars pour vivre dans l'une des sept maisons victoriennes ou dans le nouvel édifice. Il faut dire que le promoteur voyait grand: la majorité des unités ont plus de 2500 pieds carrés, du grand luxe pour le centre-ville. En fait, à compter du 12e étage, il n'y a que deux unités par étage, pour culminer avec des appartements-terrasse de 4000 pieds carrés répartis sur deux étages au sommet de la tour. Quant à la finition, elle est soignée et luxueuse: les matériaux nobles sont à l'honneur. Par sa nature, le Beauxarts semblait destiné à une clientèle qui voulait y vivre pleinement plutôt que d'y rechercher un pied-à-terre dans la métropole. «La plupart des acheteurs sont de la région de Montréal. Ce sont des gens dans la cinquantaine ou la soixantaine et ils ont souvent vendu leur maison après le départ des enfants», remarque Sol Luger.

Le projet tombe à point pour ce secteur de la rue Sherbrooke, au coeur du Golden Square Mile où vivait la bourgeoisie montréalaise du XIXe siècle. «C'est le premier projet à voir le jour depuis environ 35 ans, à l'époque où le Port-Royal avait été construit», évoque Sol Luger. Et comme les façades des sept maisons victoriennes auront retrouvé leur éclat du XIXe siècle, c'est un peu comme si le passé était conjugué au futur.

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Sur Internet: www.beauxarts.ca