Co-auteur du Demographia International Housing Affordability Survey, Wendell Cox soutient que Vancouver figure parmi les 15 villes où les prix des immeubles sont les plus dispendieux. L'enquête compare les marchés immobiliers des villes du Canada, d'Australie, de Nouvelle-Zélande, du Royaume-Uni et des États-Unis.

Co-auteur du Demographia International Housing Affordability Survey, Wendell Cox soutient que Vancouver figure parmi les 15 villes où les prix des immeubles sont les plus dispendieux. L'enquête compare les marchés immobiliers des villes du Canada, d'Australie, de Nouvelle-Zélande, du Royaume-Uni et des États-Unis.

Los Angeles occupe le premier rang, suivi de San Franscico et Honolulu.

L'enquête indique également les villes où le marché immobilier est abordable. Winnipeg est au quatrième rang après Buffalo, Rochester et Indianapolis.

M. Cox prévient qu'à Vancouver et dans les autres villes inabordables, «une escalade des prix des biens immobiliers, ayant un lien avec les revenus des ménages, est survenue».

«L'accession à la propriété a été un élément important pour démocratiser la prospérité et c'est un pilier d'une société riche et solide, dit Wendell Cox. L'escalade des prix, au point que des millions de ménages ne peuvent accéder à la propriété privée, est une mauvaise nouvelle.»