C'est ce qu'écrivait au Soleil il y a quelques mois un lecteur de Cap-Rouge, propriétaire d'une verrière.

C'est ce qu'écrivait au Soleil il y a quelques mois un lecteur de Cap-Rouge, propriétaire d'une verrière.

De plus, c'est le seul endroit de la maison où on ne se tourmente pas pour décorer les murs. Ce serait d'ailleurs inutile.

«C'est le plancher qu'on habille, non le verre», avait dit plus tôt le designer d'intérieur de Saint-Romuald, Yvon Laplante.

Le «trois saisons»

Mais, entre la verrière «quatre saisons» et le solarium, il y a la verrière «trois saisons». Elle est un admirable compromis. À moitié moins cher, en principe.

Faite de panneaux de verre, elle ne peut cependant donner lieu à un grand spectre de liberté architecturale. Jusqu'à une température de 5ºC, on y est bien. Pourvu qu'il fasse soleil.

Paul Lavoie de chez Solarium Zytco trouve que c'est un extraordinaire abri de terrasse. Mais qui, le printemps et l'automne, ne peut être confortable sans un plancher isolé.

L'hiver venu, on tire la porte. Jusqu'en février. Là, on peut commencer à y passer du temps. Les meilleures, dit-on, sont en verre Thermos, prêtes - pour peu que l'ossature soit compatible - éventuellement à être convertie en «quatre saisons».