Même la designer d'intérieur Andrée Pellerin Beck a mis son pinceau à la toile pour compléter le décor de l'appartement sur deux étages situé au chic 333 Sherbrooke, un immeuble situé à deux pas de la rue Saint-Denis. «Il fallait que les artistes soient du Québéc. C'est la principale exigence qu'avaient mes clients au sujet du choix des toiles parce qu'ils tenaient à encourager des gens d'ici», note Mme Pellerin Beck.

Même la designer d'intérieur Andrée Pellerin Beck a mis son pinceau à la toile pour compléter le décor de l'appartement sur deux étages situé au chic 333 Sherbrooke, un immeuble situé à deux pas de la rue Saint-Denis. «Il fallait que les artistes soient du Québéc. C'est la principale exigence qu'avaient mes clients au sujet du choix des toiles parce qu'ils tenaient à encourager des gens d'ici», note Mme Pellerin Beck.

Seule entorse à la règle: des affiches d'origine polonaise ornent les murs qui mènent au 9e étage. L'effet rétro des images sied aux couleurs juvéniles du bureau en bas de l'escalier.

En compagnie de sa cliente, la designer s'est donc rendue dans l'atelier de plusieurs artistes au cours des derniers mois. Elle a puisé à la source la touche finale du décor.

Elle raconte que les oeuvres, sans avoir été faites expressément pour ses clients, trouvaient naturellement leur place dans l'appartement.

Seule entorse à la règle québécoise, Andrée Pellerin Beck a déniché des affiches d'origine polonaise qu'elle a ensuite fait entoiler. Sur les murs qui mènent au 9e étage, l'effet rétro des images sied aux couleurs juvéniles du bureau en bas de l'escalier. «Voilà une solution économique pour ceux qui n'ont pas les moyens de se payer des toiles originales, croit-elle. Pour une centaine de dollars, le résultat vaut la peine.»