Le détenu qui l'ouvre va purger sa peine ou goûter la liberté. La porte est souvent la frontière entre la chaleur et le froid, le sec et le mouillé, la lumière et l'obscurité, la vie et la mort.

Le détenu qui l'ouvre va purger sa peine ou goûter la liberté. La porte est souvent la frontière entre la chaleur et le froid, le sec et le mouillé, la lumière et l'obscurité, la vie et la mort.

À Québec et dans ses environs, la majorité des gens en prennent grand soin. Ils l'ensevelissent sous les fleurs, l'ornent de jolis chiffres, la jumellent à des balcons du tonnerre, lui adjoignent des boîtes aux lettres stylisées.

Vue du dehors, une porte bien entretenue est une invitation.