De grande taille (1,22m sur 0,76m), il se pose à un endroit, peut-être deux, pour ajouter une touche de fantaisie sur un mur.

De grande taille (1,22m sur 0,76m), il se pose à un endroit, peut-être deux, pour ajouter une touche de fantaisie sur un mur.

Le résultat serait plus élégant et plus discret que le pochoir traditionnel que l'on répète en succession. «En l'appliquant une seule fois, l'effet est presque celui d'une murale, explique Francine Alepins, directrice du design et de la couleur chez Benjamin Moore. Au-dessus d'un foyer ou à la tête d'un lit, il crée un bel effet.»

La tendance s'inscrit dans la mode du «découpage» qui fait rage en Europe. Des motifs découpés dans les matières (bois, tissus, papier) laissent passer la lumière. On les voit souvent dans les paravents de bois ou les abat-jour de lin ou de feutre. Maintenant, les murs ont aussi leur «découpage», en couleur cette fois, qui se décline en diverses couleurs et lustres.

Le tatouage s'insère aussi bien dans un tableau fait maison.

Pour l'instant, Benjamin Moore n'offre qu'un seul tatouage mural en motif fleuri, mais d'autres modèles sont prévus. En attendant, c'est la couleur et le lustre de la peinture qui modifieront l'apparence du tatouage. «En ton sur ton, l'effet est plus subtil, tandis qu'on peut également jouer avec différents lustres, comme un fini perle sur fond mat, pour faire ressortir le dessin», ajoute Mme Alepins.

Durable, facile à nettoyer et réutilisable, le tatouage de plastique est assez résistant et il s'utilise comme un pochoir traditionnel. Il vaut 38,95$.