Aujourd'hui, les tabourets sont à la fois beaux, confortables, pratiques et recherchés. Claude Boileau distribue des chaises, des fauteuils et des tabourets depuis 26 ans à Montréal. Depuis quelque temps, il observe un changement. Avec la construction de petits condos urbains, les tabourets sont très prisés. Chaque pouce carré de surface étant devenu précieux, les tabourets remplacent de plus en plus les chaises de cuisine. On les place judicieusement autour du comptoir ou de l'îlot. «Je vends deux fois plus de tabourets pour le milieu résidentiel qu'il y a cinq ans», constate le distributeur, également président de C.A.B. Déco. Pour François Caron, vice-président de Trica, une entreprise québécoise spécialisée dans la fabrication de tabourets, cet engouement s'explique également par le rythme trépidant des familles. Les enfants et les parents ont des horaires différents. «On a de moins en moins le temps de manger en famille. Au lieu de mettre la table, on mange plutôt au comptoir-lunch», dit-il. Un plateau surélevé est ajouté au comptoir ou à l'îlot d'une cuisine afin de s'en servir comme une table. Habituellement, la tablette est surélevée à 42 pouces de haut et elle exige des tabourets de 30 pouces (du sol à l'assise). Les comptoirs traditionnels mesurent 36 pouces de haut et sont entourés de tabourets de 24 pouces. Sans compter que la cuisine ne sert plus seulement à la préparation des repas. La cuisine nouvelle est multifonctionnelle. Les enfants, par exemple, y font leur devoir. Résultat: le comptoir est devenu un endroit convoité. François Caron observe que les tabourets se multiplient aussi dans les grands appartements. «Plutôt que d'avoir une table de cuisine et une table dans la salle à manger, bien des propriétaires préfèrent garnir le comptoir-lunch de tabourets confortables», dit-il. Comme pour un fauteuil, il faut essayer plusieurs tabourets avant de trouver le bon. Chez Trica et chez C.A.B. Déco, des tabourets au dossier haut sont proposés. L'assise et le dossier des tabourets peuvent être rembourrés pour un confort plus moelleux. Certains dossiers s'arrêtent au milieu ou au bas du dos. D'autres n'en ont pas. Il y a aussi des tabourets à hauteur variable, inspirés par ceux de Magis. Quant aux tabourets pivotants, ils sont pratiques, «puisqu'il n'est pas nécessaire de les déplacer pour s'asseoir», fait remarquer François Caron. Chez Trica, les prix des tabourets oscillent entre 100 et 400 $. Du côté de chez C.A.B. Déco, ils valent entre 195 et 700 $. «Nous offrons un design européen et une qualité de construction commerciale, explique Claude Boileau. Et aujourd'hui, cette qualité est supérieure à celle des tabourets asiatiques offerts au pays.»

Aujourd'hui, les tabourets sont à la fois beaux, confortables, pratiques et recherchés. Claude Boileau distribue des chaises, des fauteuils et des tabourets depuis 26 ans à Montréal. Depuis quelque temps, il observe un changement. Avec la construction de petits condos urbains, les tabourets sont très prisés. Chaque pouce carré de surface étant devenu précieux, les tabourets remplacent de plus en plus les chaises de cuisine. On les place judicieusement autour du comptoir ou de l'îlot. «Je vends deux fois plus de tabourets pour le milieu résidentiel qu'il y a cinq ans», constate le distributeur, également président de C.A.B. Déco. Pour François Caron, vice-président de Trica, une entreprise québécoise spécialisée dans la fabrication de tabourets, cet engouement s'explique également par le rythme trépidant des familles. Les enfants et les parents ont des horaires différents. «On a de moins en moins le temps de manger en famille. Au lieu de mettre la table, on mange plutôt au comptoir-lunch», dit-il. Un plateau surélevé est ajouté au comptoir ou à l'îlot d'une cuisine afin de s'en servir comme une table. Habituellement, la tablette est surélevée à 42 pouces de haut et elle exige des tabourets de 30 pouces (du sol à l'assise). Les comptoirs traditionnels mesurent 36 pouces de haut et sont entourés de tabourets de 24 pouces. Sans compter que la cuisine ne sert plus seulement à la préparation des repas. La cuisine nouvelle est multifonctionnelle. Les enfants, par exemple, y font leur devoir. Résultat: le comptoir est devenu un endroit convoité. François Caron observe que les tabourets se multiplient aussi dans les grands appartements. «Plutôt que d'avoir une table de cuisine et une table dans la salle à manger, bien des propriétaires préfèrent garnir le comptoir-lunch de tabourets confortables», dit-il. Comme pour un fauteuil, il faut essayer plusieurs tabourets avant de trouver le bon. Chez Trica et chez C.A.B. Déco, des tabourets au dossier haut sont proposés. L'assise et le dossier des tabourets peuvent être rembourrés pour un confort plus moelleux. Certains dossiers s'arrêtent au milieu ou au bas du dos. D'autres n'en ont pas. Il y a aussi des tabourets à hauteur variable, inspirés par ceux de Magis. Quant aux tabourets pivotants, ils sont pratiques, «puisqu'il n'est pas nécessaire de les déplacer pour s'asseoir», fait remarquer François Caron. Chez Trica, les prix des tabourets oscillent entre 100 et 400 $. Du côté de chez C.A.B. Déco, ils valent entre 195 et 700 $. «Nous offrons un design européen et une qualité de construction commerciale, explique Claude Boileau. Et aujourd'hui, cette qualité est supérieure à celle des tabourets asiatiques offerts au pays.»