D'accord, les vrais maniaques de tomate cultivent toujours leurs propres plants à partir de semences et ont pris soin de choisir des variétés résistantes, mais la plupart des jardiniers achètent toujours des plants... et se font souvent prendre par des plants non productifs. Les marchands de la région ne sont pas toujours très forts sur l'identification de leurs plants et souvent les identifient seulement comme des «beefsteak» (à gros fruit) ou «tomate cerise» (à petit fruit), ce qui n'est d'aucune utilité. Idéalement, vous irez voir un marchand qui connaît les noms de ses plants et qui, de plus, peut vous diriger vers des tomates délicieuses et résistantes aux maladies. L'ultime ressource est un marchand qui identifie ses plants par le nom du cultivar et aussi ses résistances, comme «Celebrity» VFNT ou «First Lady» VFNT. Ces quatre lettres indiquent un plant résistant à quatre problèmes : flétrissure verticillienne (V), fusariose (F), nématodes (N) et mosaïque du tabac (T). Après tout, pourquoi traiter les maladies quand on peut les prévenir?

D'accord, les vrais maniaques de tomate cultivent toujours leurs propres plants à partir de semences et ont pris soin de choisir des variétés résistantes, mais la plupart des jardiniers achètent toujours des plants... et se font souvent prendre par des plants non productifs. Les marchands de la région ne sont pas toujours très forts sur l'identification de leurs plants et souvent les identifient seulement comme des «beefsteak» (à gros fruit) ou «tomate cerise» (à petit fruit), ce qui n'est d'aucune utilité. Idéalement, vous irez voir un marchand qui connaît les noms de ses plants et qui, de plus, peut vous diriger vers des tomates délicieuses et résistantes aux maladies. L'ultime ressource est un marchand qui identifie ses plants par le nom du cultivar et aussi ses résistances, comme «Celebrity» VFNT ou «First Lady» VFNT. Ces quatre lettres indiquent un plant résistant à quatre problèmes : flétrissure verticillienne (V), fusariose (F), nématodes (N) et mosaïque du tabac (T). Après tout, pourquoi traiter les maladies quand on peut les prévenir?

Changez vos tomates de place tous les étés, sinon le sol dans lequel elles poussent risque d'être infesté de maladies. Il faut même éviter des endroits où vous avez cultivé d'autres solanacées (piments, pommes de terre, etc). Après cinq ans, vous pouvez toutefois réutiliser le premier emplacement.

Appliquez mycorhizes et paillis rouge

Il y a de plus en plus de problèmes d'alternariose chez les tomates. Cette «nouvelle» maladie (en fait, une très vieille maladie qui revient nous hanter) provoque des lésions noires sur les fruits, juste avant leur mûrissement. Peu de tomates résistent à la maladie, mais j'ai remarqué que celles sur lesquelles j'avais appliqué des mycorhizes ne développaient pas cette maladie. De toute façon, les mycorhizes stimulent les tomates à mieux produire et en appliquer est donc utile.

Aussi curieux que cela puisse paraître, les plants de tomate plantés dans un paillis de plastique rouge (en vente sur le marché) sont plus productifs que les plants n'ayant pas de paillis ou un paillis noir.

La tomate a la capacité de produire des racines supplémentaires sur sa tige si celle-ci est enterrée. Pour des plants très forts, creusez un trou de plantation en longueur, enlevez les feuilles inférieures du plant et couchez-le dedans, laissant seulement l'extrémité feuillue dépasser. Recouvrez de terre et arrosez bien.

Enfin, pour le reste de l'été, traitez vos tomates aux petits oignons. Appliquez un paillis et arrosez au besoin pour vous assurer que la plante ne manque jamais d'eau. Vous aurez des plants plus beaux et moins de problèmes de pourriture apicale et de fendillement, causés tous les deux par des périodes de sécheresse suivies d'arrosages trop assidus.