Lise Sylvain, une golfeuse du club de golf de Saint-Georges de Beauce, me dit qu'à l'été 2004, un couple de bernaches avec ses cinq rejetons avait passé l'été et que lorsque ces derniers ont grossi, ce n'était pas toujours drôle.

Lise Sylvain, une golfeuse du club de golf de Saint-Georges de Beauce, me dit qu'à l'été 2004, un couple de bernaches avec ses cinq rejetons avait passé l'été et que lorsque ces derniers ont grossi, ce n'était pas toujours drôle.

Cette année, ce n'est pas un, mais deux couples qui ont envahi le golf. Il y a maintenant 14 bernaches sur le terrain et Mme Sylvain dit: «Nous avons hâte qu'ils sachent voler et qu'ils s'en aillent».

Vous savez, des bernaches, ça peut être bien dérangeant, surtout par les fientes qu'elles laissent sur le terrain. Et Mme Sylvain s'interroge: «Combien en aurons-nous le printemps prochain? Dix couples avec chacun cinq bébés... Ah non! Comment s'en débarrasser, il doit bien y avoir un truc?»

Les bernaches sont souvent envahissantes et, dans certains parcs aux États-Unis et dans l'Ouest canadien, on leur livre une lutte acharnée, mais ce n'est pas facile de s'en débarrasser.

Leur présence dérange énormément et leurs fientes peuvent causer des problèmes de santé.