À cause de ma négligence, les racines avaient séché mais en restant très charnues. J'en ai donc transplanté quelques-unes dans le jardin juste au cas. La plupart ont finalement germé et sont actuellement en fleurs. D'une hauteur d'environ 70 cm à 1 m, Salvia patens est généralement achetée en plant, mais elle reste difficile à trouver. À la suite du premier gel, vous pourrez donc déterrer vos tubercules pour les enrober de mousse de tourbe et les placer dans un contenant en plastique scellé. En avril ou mai, vous pourrez les planter en pot à la maison, comme des cannas, ou encore les mettre en terre au jardin vers la mi-mai.

À cause de ma négligence, les racines avaient séché mais en restant très charnues. J'en ai donc transplanté quelques-unes dans le jardin juste au cas. La plupart ont finalement germé et sont actuellement en fleurs. D'une hauteur d'environ 70 cm à 1 m, Salvia patens est généralement achetée en plant, mais elle reste difficile à trouver. À la suite du premier gel, vous pourrez donc déterrer vos tubercules pour les enrober de mousse de tourbe et les placer dans un contenant en plastique scellé. En avril ou mai, vous pourrez les planter en pot à la maison, comme des cannas, ou encore les mettre en terre au jardin vers la mi-mai.

Le chaînon reçoit 31 000 $

Les ventes du rosier «Jean-Pierre-Ferland» par le réseau de jardineries et de pépinières sous la bannière Passion Jardins ont rapporté 31 000 $ au Chaînon, maison d'accueil pour femmes en difficulté, depuis le lancement de la campagne de financement, l'an dernier. L'artiste a accepté de donner son nom à cet hybride de thé à fleurs jaunes à la condition que les profits de la vente soient versés pour cette cause.

Un bégonia très coloré

Il porte un nom étrange, «Bénitochiba» et ses coloris sont plutôt uniques pour un cultivar de Begonia rex. Vendu depuis quelques années, du moins aux États-Unis, j'ai fait sa découverte il y a peu temps. Ce bégonia produit des feuilles palmées de couleur pourpre tirant sur le violet sur fond argenté. Ses fleurs apparaissent en fin d'été mais sont de peu d'intérêt. On doit le mettre à l'intérieur pour l'hiver. Une entreprise de vente de plantes par Internet mentionne toutefois que les climats chauds et humides ne conviennent pas à la plante. Jusqu'à maintenant, en dépit de la chaleur souvent accablante, celle-ci n'a manifesté aucun signe dépérissement.

Racines trompeuses

Langue française et botanique ont parfois des subtilités qui nous échappent. Prenez par exemple le navet et la carotte. Eh bien! ce ne sont pas des racines, nous rappelle l'excellent ouvrage L'encyclopédie du potager (éd. Actes Sud). Il s'agit plutôt d'un tubercule hypocotylaire ou encore d'un hypocotyle, un terme savant désignant la partie située entre le collet de la plante et la racine elle-même. Pendant sa période d'activité estivale, la plante accumule ses réserves de glucides qui lui seront utiles au printemps suivant pour poursuivre son cycle naturel, si personne évidemment ne vient la dévorer entretemps. C'est ce qui explique l'hypertrophie de l'hypocotyle. Seul le petit filament ramifié à la base du tubercule est une vraie racine, indiquent les auteurs du chapitre sur le radis.