La mère fusionnelle d'un jeune Français devenu «émir» en Syrie a été condamnée vendredi à Paris à dix ans de prison, assortis d'une période de sûreté des deux tiers - la peine maximale - pour son «engagement sans faille» auprès des djihadistes.

Le tribunal correctionnel a suivi l'ensemble des réquisitions du Parquet, relevant la «détermination» de Christine Rivière, 51 ans, qui s'est rendue trois fois en Syrie en 2013 et 2014, a «contribué au départ de plusieurs jeunes femmes» et s'est «totalement épanouie dans cette idéologie» mortifère.

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