Quatre travaux. Ou plutôt quatre crises. S'il veut parvenir à rehisser l'UMP au rang de grand parti de la droite qu'il occupait avant la série noire ayant suivi sa défaite à la présidentielle de 2012 - guerre fratricide, faillite, scandale de financement, etc. - Nicolas Sarkozy, nouveau chef depuis le 29 novembre de l'Union pour un mouvement populaire, devra parvenir à régler quatre crises, prévient Le Monde dans un éditorial publié ce matin.

Crise de leadership, crise intellectuelle, crise existentielle et crise d'une droite se cherchant entre le centre et l'extrême. Comme autant d'épreuves que devra relever celui que certains voient toujours comme le sauveur de son camp.

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