L'homme fort du Kremlin Vladimir Poutine a fait ses armes dans le KGB, services secrets soviétiques rebaptisés FSB après la chute de l'URSS. Une carrière d'espion qui selon «d'anciens collègues» a été menée sans panache et sans risques, le président/premier-ministre/président russe étant posté dans la ville de Dresde, en Allemagne de l'Est.

Un espion dans une ville amie, où M. Poutine était exposé à un risque 0 (sur une échelle de 1 à 10), résume l'ex-agent du KGB Valeri Chiriaïev, aujourd'hui directeur adjoint du tabloïd russe Novaya Gazeta.

À l'époque où Poutine occupe les fonctions de directeur de la Maison de l'amitié germano-soviétique, les vrais espions russes étaient déployés à l'ouest du Rideau de fer. À Paris ou Londres. À Dresde, l'espion Valdimir Poutine a dû s'ennuyer ferme, estime M. Chiriaïev.

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