L'ennemi public numéro 1 des États-Unis aurait consulté des câbles diplomatiques et des rapports militaires coulés à WikiLeaks par le soldat Manning, présumée taupe du site d'informations créé par Julian Assange, rapporte le New York Times.

De retour devant le tribunal militaire de Fort Meade, dans le Maryland, pour la poursuite de ses audiences préliminaires, Bradley Manning a vu les procureurs avancer que le commanditaire des attentats du 11-Septembre en personne avait mis la main sur des documents destinés à WikiLeaks, quelque temps avant le raid américain du 2 mai 2011 sur sa villa pakistanaise d'Abbottabad, qui a coûté la vie au chef historique d'Al-Qaïda.

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