L'ex-grand patron du Fonds monétaire international (FMI) et ancien favori virtuel à la présidentielle française de 2012, Dominique Strauss-Kahn, se dit être « l'objet d'une traque médiatique » qui s'apparente parfois à une « chasse à l'homme » lors d'un entretien qu'il a consenti à l'hebdomadaire français Le Point.

« Qu'on me laisse tranquille! » Voilà le message principal que livre DSK dans ces confidences qui paraîtront dans l'édition de demain du magazine d'information.

L'homme qui a vu sa carrière politique anéantie avec le scandale du Sofitel et son arrestation à New York en mai 2011, souligne qu'il n'occupe plus aucune fonction politique, qu'il n'est dorénavant candidat à rien et qu'il n'a jamais été condamné - ni en France ni ailleurs - et que par conséquent cette « chasse à l'homme » dont il se dit victime n'est en aucun cas justifiée.

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