Des chercheurs de l'université américaine Georgia Tech ont traduit les ondes sismiques enregistrées à Fukushima lors du terrible tremblement de terre du 11 mars 2011 en ondes sonores. Une conversion qui permet d'écouter le «bruit» du séisme.

«Les gens peuvent entendre le début du séisme et les changements d'amplitudes tout en regardant sur des graphiques les changements des fréquences sismiques», explique  Zhigang Peng, professeur associé à l'université Georgia Tech et auteur de la transcription des ondes du mode sismique au mode audio.

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