Barack Obama le reconnaît lui-même: il n'est plus aussi cool qu'en 2008. Une façon de préparer ses partisans à une campagne moins glamour que la précédente.

Le président démocrate ne jouit plus de l'effet de nouveauté. L'enthousiasme dont il jouissait est retombé. Son bilan est terni par les compromis liés à l'exercice du pouvoir. Saura-t-il charmer les citoyens lors des prochaines élections?

À lire sur courrierinternational.com