Ne cherchez pas dans les manuels d'histoire irakiens le chapitre dédié à la dictature de Saddam Hussein, ni même celui lié à sa chute.  Pour leurs examens d'histoire, les élèves de Bagdad n'auront pas à réviser les textes traitant de l'invasion américaine. Car «aucun de ces faits n'a offciellement eu lieu».

Sous consigne «d'éviter les sujets sensibles», les professeurs d'histoire irakiens sont invités à ne pas aborder ce pan historique qui soulève les passions. Si pour certains l'invasion américaine évoque la libération de Bagdad, pour d'autres, le terme américain est synonyme d'occupation.

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