Chrysler, Shell, Boeing, le candidat à la présidentielle John Kerry... Clotaire Rapaille, Français installé aux Etats-Unis, était supposé être le conseiller marketing en vogue outre-Atlantique. La baudruche s'est soudainement dégonflée lorsque la ville de Québec a mis fin à son contrat. Le bidonnage du CV de Rapaille était un peu trop évident, écrit le journaliste Gaétan Pouliot sur le site d'information français Rue89.

Il devait être le « king qui parle français », comme l'a présenté le maire de Québec, Régis Labeaume. Sa mission : rajeunir l'image de la ville et la rendre plus attrayante. Un contrat d'une valeur de 300 000 dollars canadiens, soit environ 220 000 euros. Et Clotaire Rapaille semblait avoir le profil de l'emploi.

 

Lire la suite sur Rue89.