Les difficultés financières ont longtemps constitué le principal motif des divorces, mais la crise financière est en train de renverser la donne aux États-Unis. De plus en plus de couples, surendettés, n'ont plus les moyens de se séparer et sont obligés de continuer à cohabiter dans la même maison même s'ils ne se supportent plus en peinture...

Le nombre de divorces a ainsi chuté de 9% par rapport à 2007. Mais alors que la droite chrétienne se félicite de cette conséquence inattendue de la crise, les psychologues flairent un danger : les cas de violences domestiques et de désertion du foyer par un parent ont en effet augmenté au cours de la même période.

Lisez la suite sur rue89.fr