Deux cents coups de couteau relevés sur le corps de Laurent Bonomo, quarante-trois sur celui de Gabriel Ferez, certains sans doute été portés après la mort. Le déchaînement de violence de l'assassin des deux étudiants français est inouï.

Le mobile de cette véritable boucherie reste pour l'heure une énigme pour les enquêteurs londoniens.L'assasassin voulait peut-être s'en prendre à l'ancien locataire du studio.

«Tous ceux qui ont travaillé sur cette affaire, y compris moi-même, ont été profondément choqués par ce que nous avons vu. Je n'ai jamais vu de blessures semblables de toute ma carrière.» L'inspecteur Mick Duthie de Scotland Yard pèse ses mots.

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