La levée partielle par Pékin de la censure sur internet a été constatée vendredi dans le principal centre de presse des JO à Pékin mais aussi sur des ordinateurs de particuliers en Chine, laissant penser qu'elle s'applique à l'ensemble du réseau chinois.

Les sites d'Amnesty International ou de Reporters sans frontières étaient accessibles, tout comme celui de la BBC en chinois, a constaté un journaliste de l'AFP. En revanche, ceux de dissidents, de pro-tibétains ou du mouvement spirituel interdit Falungong ne pouvaient être consultés.

Cette levée de la censure a pu être constatée depuis un portail internet sur un navigateur ordinaire à Pékin. Et les organisations Amnesty et RSF se sont également réjouies que leurs sites soient désormais accessibles à des Chinois ordinaires, à Pékin et d'autres villes.