Se mettre d'accord sur ses désaccords nécessite beaucoup d'énergie à huit et encore plus à vingt. Le G20 de Toronto a certes au moins atteint ce mince résultat, avec un communiqué reconnaissant à la fois la nécessité de réduire les déficits publics et celle de soutenir la croissance : les diplomates ont bien travaillé, chacun y trouvera son compte et pourra rentrer chez soi satisfait.

Mais après ? Si cette issue est plus que décevante au regard de la facture astronomique du sommet - près de 1 milliard de dollars ! -, elle l'est surtout par rapport aux espoirs placés dans la capacité de ce forum à mettre un peu d'ordre dans les désordres de l'économie mondiale. Lisez la suite sur le site du quotidien économique français Les Échos: https://www.lesechos.fr/info/analyses/020631953132-l-occasion-ratee-du-g20.htm