La France propose à juste titre d'imaginer un comité de pilotage des politiques budgétaires, à 16 ou à 27. C'est la bonne voie. Angela Merkel, politiquement affaiblie, n'était pas prête à en discuter hier soir avec Nicolas Sarkozy. Dommage. Sans leur entente, rien n'est possible.

Lire l'éditorial sur le site du Monde:

https://www.lemonde.fr/idees/article/2010/06/08/les-rates-du-moteur-franco-allemand_1369422_3232.html