Au lieu de s'engager à dépenser davantage, l'Allemagne se prépare à adopter un programme de compressions sévères qui s'étalera sur plusieurs années. Compte tenu de son passé trouble, on peut comprendre sa crainte des déficits et de l'inflation. Mais présentement, des mesures supplémentaires d'austérité allemande ne peuvent que menacer la reprise naissante en Europe et la prospérité même de l'Allemagne. C'est la dure réalité à laquelle la chancelière Angela Merkel devrait sensibiliser son parti et son pays.

Lisez l'éditorial (en anglais) du New York Times:

https://www.nytimes.com/2010/05/27/opinion/27thu1.html?ref=global-home