Dans le cadre d'un cycle consacré au cinéma de Robert Morin, lauréat du prix Albert-Tessier l'an dernier, la Cinémathèque québécoise propose aujourd'hui Quiconque meurt, meurt à douleur.

Dans cette oeuvre de fiction, écrite et jouée par des gens qui sont visiblement revenus de loin, des policiers et un caméraman sont pris en otages dans une piquerie.

Du coup, le réalisateur de Requiem pour un beau sans-coeur (aussi au programme à 21h aujourd'hui) orchestre une véritable descente aux enfers dans le monde de la dope.

Et dénonce du même coup le voyeurisme des téléréalités et des médias en général.

Que voilà un film puissant. Le cycle Morin se poursuit jusqu'au 14 février.

Samedi, 17h, à la Cinémathèque québécoise.