L'audience de Charlie Sheen en lien avec une affaire de violence conjugale, au Colorado, a été remise au mois prochain, les deux parties n'ayant pu s'entendre sur les termes de la libération de l'acteur pour qu'il puisse effectuer des travaux communautaires.

Sheen avait accepté de plaider coupable à une accusation de voies de fait mineures et de travailler pour une troupe de théâtre du Colorado tout en purgeant une peine de 30 jours de prison. En échange, les procureurs devaient abandonner des accusations de méfait criminel et de menaces graves.

Les avocats ont cependant jugé lundi qu'ils avaient besoin de davantage de temps pour négocier certains termes de l'entente.

Mardi, l'avocat Yale Galanter a expliqué que les documents finaux déposés devant le juge auraient soumis Sheen à des règles plus strictes pour les moments où il sortirait de prison pour aller travailler. Il n'aurait pas eu le droit de fumer et aurait dû consommer uniquement les plats fournis par la prison, sous peine de sanctions.

Me Galanter, qui représente l'épouse de Sheen, a indiqué que ces termes n'étaient pas ceux négociés avec les autorités du comté de Pitkin.

Il a ajouté que les restrictions liées à l'usage du tabac ne forment qu'une petite partie du désaccord. Selon lui, l'acteur a obtenu le droit d'utiliser des timbres de nicotine pendant sa détention.