Ils ont entre 16 et 25 ans et sont les vedettes de I Am Number Four de D.J. Caruso, drame de science-fiction inspiré du roman de Pittacus Lore dans lequel on suit un jeune extraterrestre tentant d'échapper aux Mongadorians qui ont exterminé la population de Lorien, sa planète. 

Il est Number Four, il a des pouvoirs... mais il aura besoin d'aide. De Number Six mais aussi d'humains - un meilleur ami et un premier amour. La Presse les a rencontrés.

Alex Pettyfer (Number Four/John)

Cascades, explosions: Alex Pettyfer a eu son lot d'action pendant le tournage de I Am Number Four. «Mais ce que j'ai trouvé le plus difficile, ç'a été de jouer en retenue. Number Four ne fait que passer dans la vie des gens qu'il croise, il ne peut donc pas trop leur donner et leur en dire sur sa vraie nature», explique le comédien que l'on a vu dans Alex Rider: Operation Stormbraker et qui sera bientôt en vedette dans Beastly, version contemporaine de La belle et la bête. Un autre film dont il sera fier... car c'est ce qu'il vise: «Je ne veux pas faire des choses dont je ne serai pas fier. Le jour où vous commencez à faire ça est le jour où vous commencez à décliner.»

Teresa Palmer (Number Six)

Dans ses films précédents, Teresa Palmer a été britannique ou américaine. Dans la vie, elle est australienne et elle a persuadé D.J. Caruso que son personnage dans I Am Number Four pouvait l'être aussi: «Après tout, les jeunes Loriens peuvent avoir été envoyés partout sur la planète!» pouffe celle qui a eu un plaisir monstre à incarner une Number Six rebelle et sans pitié - elle qui est en réalité «douillette, chaleureuse et joviale». Pour convaincre, elle a subi un entraînement «qui allait beaucoup plus loin qu'apprendre à me battre. J'ai changé ma manière de tenir mes épaules, de marcher», raconte celle qui ne veut surtout pas «être traitée comme une actrice délicate».

Dianna Agron (Sarah)

Le nom de Dianna Agron est associé à celui de Glee, où elle interprète la blonde Quinn Fabry. «Passer les portes de la Paramount, tous les jours, est confortable. Je retrouve là ma nouvelle famille», indique celle qui est connue pour avoir le nez dans un livre lors des périodes d'attente sur les plateaux. Parmi ces livres, fantasy et science-fiction. «J'ai toujours aimé ça, il m'a donc été facile de plonger dans l'univers de I Am Number Four.» Pas de problème non plus pour «adopter» Sarah, qui vit un appareil photo à la main: «J'ai étudié la photographie au collège, je dois avoir une dizaine d'appareils photo à la maison et j'adore le travail en chambre noire.»

Callan McAuliffe (Sam)

«Je ne crois pas que les extraterrestres marchent parmi nous mais je pense que la vie existe sur d'autres planètes, sous forme de bactéries ou quelque chose du genre», indique le jeune acteur australien Callan McAuliffe, que l'on a récemment vu dans Flipped de Rob Reiner et qui, dans I Am Number Four, est persuadé que les rencontres du troisième type ne sont pas que science-fiction. Impossible, en entrevue, de ne pas noter son accent australien, qu'il camoufle à la perfection dans le long métrage: «On passe beaucoup de temps, chez moi, à se moquer de l'accent des Américains, rigole-t-il. Mais comme on regarde leurs films et on écoute leur musique, il devient facile de parler comme eux.»

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I Am Number Four (Numéro Quatre) prend l'affiche le 18 février Les frais de voyage ont été payés par Walt Disney Pictures