Ode à sa propre adolescence nourrie de shows punk-rock, le premier long métrage du jeune réalisateur originaire de Québec, Pascal Plante, fait son petit bonhomme de chemin dans plusieurs festivals internationaux. Après Vancouver et Montréal (Festival du nouveau cinéma) l'automne dernier, Les faux tatouages sera projeté dimanche au Slamdance Film Festival, en Utah, puis le mois prochain à la prestigieuse Berlinale.

«Berlin, c'est vraiment une surprise que j'accueille à bras ouverts. C'est arrivé de nulle part», s'enthousiasme Pascal Plante à l'autre bout du fil, se disant flatté par tous ces «sceaux d'approbation» à l'égard de son film dont il signe également le scénario.

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