Après Distant Voices, Still Lives, The Neon Bible ou encore The House of Mirth, le réalisateur britannique Terence Davies revient à sa ville natale et son premier amour, Liverpool.

Loin de l’image folklorique que Liverpool a acquis au fil des années notamment grâce au plus célèbre groupe de rock qui en est sorti, Terence Davies revisite sa ville et ses gens.

Dans ce poème visuel, Terence Davies plonge dans sa propre histoire et dans celle de Liverpool la populeuse, Liverpool la moderne, Liverpool l’Hollywoodienne et Liverpool la gentrifiée.

Se dégage d’Of Time and The City un retour dans le passé comme dans la ville, une véritable déclaration d’amour qui ne manquera pas de rappeler celle de Luc Bourdon à Montréal dans La mémoire des anges.