Lady Gaga réplique à la poursuite de 30,5 millions $ intentée par un producteur et ancien copain soutenant avoir lancé la carrière de la jeune star de la pop.

Son avocat a indiqué dans un document de cour, rendu public vendredi, que l'entente au coeur de la poursuite était «illégale».

Le producteur et parolier Rob Fusari a déposé sa poursuite contre la chanteuse, mercredi, à Manhattan. Il a soutenu que sa protégée et ancienne petite amie, de son vrai nom Stefani Germanotta, l'avait abandonné au moment où sa carrière prenait son envol.

Selon la poursuite, Rob Fusari et Stefani Germanotta ont coécrit des pièces telles que Paparazzi et Beautiful, Dirty, Rich. Le producteur a également affirmé avoir trouvé le nom de scène de l'artiste et l'avoir aidé à décrocher son contrat de disque.

Toujours selon la poursuite, la relation entre Lady Gaga et M. Fusari a pris une tournure romantique et est devenue une collaboration d'affaires en mai 2006, quand ils ont créé la compagnie Team Love Child LLC pour promouvoir sa carrière. La part de M. Fusari était de 20 pour cent.

Mais l'avocat de Lady Gaga, Charles Ortner, a écrit dans sa réplique que l'entente «était structurée de telle façon de masquer son réel objectif». Me Ortner a fait valoir que M. Fusari et sa compagnie avaient violé les statuts leur interdisant d'«agir en tant qu'agents recruteurs sans permis et avaient chargé des frais illégaux à Lady Gaga pour leurs prétendus services».