Plusieurs personnes appellent ou envoient des textos en pensant qu'elles devront payer 1 $ uniquement si elles réussissent à obtenir la communication et à être mises en ondes. Puisque cela est très difficile, elles rappellent sans arrêt, encouragées par les animatrices qui répètent sans arrêt qu'elles attendent les appels. Or, même si la ligne est occupée, il faut payer, protestent les participants. Certains affirment avoir ainsi dépensé des centaines ou des milliers de dollars sans s'en rendre compte.

Même si l'émission est diffusée au début de la nuit (entre 23 h et minuit 30) et qu'il faut être majeur pour jouer, des adolescents peuvent appeler du domicile de leurs parents, qui auront la surprise de recevoir une facture salée. Bonne chance pour le contester... (Sur cyberpresse.ca/call, écoutez un ado de 13 ans téléphoner à l'émission.)

Les participants qui se sentent lésés ont seulement 28 jours pour porter plainte auprès du Conseil canadien des normes de la radiotélévision. Après, les bandes-témoins peuvent être détruites par la station.

Certaines réponses sont pour le moins difficiles à trouver. Un jeu consiste par exemple à chercher des prénoms féminins dont la deuxième lettre est un «A». L'animatrice refuse la réponse «Pauline», parce qu'elle ne se trouve dans aucune de ses enveloppes. Les «bonnes» réponses: Laura, Macha, Radmilla ou... Bahar! Commentaire de l'animatrice au sujet de ce dernier prénom: «Celui-ci était un peu plus difficile à trouver, mais vous auriez pu le trouver aussi.»