Dans son rapport 2009-2010, l'ombudsman de Radio-Canada, Julie Miville-Dechêne, note que les journalistes dérogent aux normes journalistiques de leur propre réseau en versant dans l'opinion, que ce soit à l'antenne, sur Twitter, dans leurs blogues ou dans les lettres ouvertes aux journaux.

Selon elle, leur omniprésence dans des émissions où on mélange les genres (émissions de variétés et d'humour comme Infoman ou Le verdict) leur donne de la visibilité mais risque de nuire à la réputation d'impartialité de Radio-Canada.