Le collègue Vincent Brousseau-Pouliot nous a appris la semaine dernière dans La Presse Affaires qu'une requête en recours collectif a été lancée au Québec contre Lance Armstrong et ses maisons d'édition pour avoir menti dans ses deux autobiographies.

L'ex-septuple vainqueur du Tour de France, suspendu à vie pour dopage, avait nié dans ces livres publiés en 2000 et en 2003 avoir pris de la drogue.

Ce ne sont sûrement pas les premiers mensonges (pieux ou non) à se retrouver dans une autobiographie, mais on saura peut-être bientôt si un lecteur qui se sent lésé a le droit de se faire rembourser.

Avis à Joe Borsellino ou à tout autre témoin vedette de la commission Charbonneau si l'envie leur prend d'écrire leurs mémoires...