Quels sont vos plus beaux souvenirs de Claude Léveillé. Laquelle de ses chansons vous a marqué?

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Envolé sur un Cheval blanc

Mon premier souvenir de Léveillée passe par Clo-Clo. Je bois toutes les images de ce Clo-Clo de 1957 sur écran noir et blanc, ce clown sautillant et souriant, qui fait danser les notes de son piano et virevolter la marguerite de son chapeau. Plus tard, il est la chanson Frédéric, prénom de mon père. Ensuite, il est l'amour d'un pays de froidure quand les Quelques arpents de neige apaisent mes frissons. Il devient ensuite cet homme de pouvoir dans Scoop; j'éprouve un inlassable bonheur à revoir jouer ce grand comédien si attachant. J'adore le piano de Léveillée; je me délecte des Deux pianos avec Gagnon. Les innombrables mélodies de Claude Léveillée m'habitent, ses ivoires et ses ébènes m'électrisent, sa voix m'envoûte. Claude Léveillée s'est envolé sur un Cheval blanc cette nuit. Sa musique, son intensité, ses mélodies, sa sensibilité, son charme, son romantisme sont autant de souvenirs impérissables gravés sur vinyle, rubans, pellicules et CD. Avec nous. À jamais.

Au revoir et merci Claude Léveillée!

Diane Bariteau, Longueuil

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Un héritage extraordinaire

C'est toujours un coup au coeur de voir partir l'un des nôtres, ce géant de la chanson québécoise, cette voix chaleureuse et envoûtante, ce génie musical. Ses plus grandes créations ont bercé mon enfance et mon fils porte même le prénom de Frédéric, en hommage à ce chef-d'oeuvre et à son auteur. Mais quel héritage extraordinaire il nous laisse! Merci Claude!

Céline Pilon, Hudson

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Un monument

Je suis très triste de la perte de ce grand monument. Ce qui me frappa dans la carrière de cet homme est sa polyvalence. Il était un très grand chanteur et compositeur, mais en plus un très bon acteur. Quand il joua le magnat de la presse dans Scoop et quand j'étais enfant, il jouait un soldat dans le téléroman La côte de sable. J'ai des archives photo et vidéo de ce grand téléroman. Mes sincères condoléances à sa famille.

Carol Gagnon, Charlesbourg

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Une oeuvre colossale

Claude Léveillée a illustré musicalement les plus beaux instants de ma jeunesse. Il m'a fait rêver et voyager. Il m'a donné l'envie d'aimer avec un grand A. Surtout, il m'a ému. Des millions de fois. Cette sensibilité qu'il a mise au service de son art est un immense cadeau à notre culture. Il nous laisse aujourd'hui une oeuvre colossale et des chansons intemporelles. Tout récemment, je me suis amusé à imager sa magnifique pièce Un retard, qui était introuvable sur YouTube et qui, selon moi, méritait de revivre. C'est une pièce qui a servi d'indicatif musical thème au magnifique Monde de Marcel Dubé. Je vous invite à la (re)découvrir: https://www.youtube.com/watch?v=2qBH78haO2c.

Bravo et merci, M. Léveillée!

Robert Campeau

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Une inspiration

Au-delà du brillant auteur-compositeur-interprète qu'il était et du riche et précieux catalogue qu'il nous laisse en legs, c'est le grand musicien qu'il s'est avéré que je retiendrai. Claude Léveillée est la preuve incontestable que la scolarité musicale n'est absolument pas un atout, lorsqu'on a le talent et la vision. À moins que mon souvenir soit inexact, Léveillée était un pianiste autodidacte.Son talent de pianiste doit demeurer une inspiration pour tous les musiciens québécois bourrés de talent et qui, eux aussi, comprennent qu'il vaut mieux être capable de rendre les émotions avec son instrument sans lire une note que de se réfugier derrière une scolarité musicale tout en étant fade et générique... Il n'y avait rien de fade ni de générique dans Léveillée.

Martin Larose

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Le plus grand pianiste

Du plus loin que je me rappelle, Claude Léveillée a toujours fait partie de ma vie. Depuis que je suis toute petite (j'en ai maintenant 31 ans), ses mélodies jouent et rejouent à la maison. Nous avions tous ses plus grands albums à la maison et dès que j'ai quitté le domicile familial, ils m'ont suivi. Je peux écouter du Claude Léveillée en toutes circonstances. C'est vraiment selon moi, le plus grand pianiste de l'ère moderne. Ma plus grande fierté, c'est de l'avoir fait découvrir à mon amoureux, et surtout le fait qu'il soit totalement tombé en amour avec sa musique. Et, à une époque où les gens de 25 ans écoutent du Lady Gaga, lui, il écoute du Léveillée en passant la tondeuse!  Et je vous confirme que mon fils de 18 mois grandira également au son de sa musique. C'est un cadeau, que de lui donner accès à sa musique!

Geneviève Hubert

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Il traversera le temps

Toutes ces musiques chargées d'émotions sont le plus bel héritage qu'il puisse nous léguer. La légende du Cheval blanc qui a su faire rêver toutes les femmes et quand j'ai eu mon fils, je me demandais comment le prénommer. Je voulais que son nom soit empreint de la famille et des souvenirs que l'on forge tout au long de notre vie et sans contredit, le plus beau: Frédéric. Alors, il continuera à vivre parmi nous à travers les âges.

Merci Claude! Salut!

Christiane Lavallée

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Deux roses

Il y a 16 ans, j'avais 18 ans et j'adorais Claude Léveillée. Mon amoureux m'avait invitée à assister à son spectacle et m'avait offert deux roses, une pour moi et une autre pour ce beau monsieur. Je la lui ai offerte à la fin de la représentation et il m'avait embrassée. Je m'en souviendrai toute ma vie. Je le revois sur scène et j'en ai les larmes aux yeux...

Marie-Josée Dion, Lebel-sur-Quévillon

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Léveillée vivra en nous jusqu'à la fin

J'ai souvenir de Clo-Clo qui se produisait dans l'émission Domino. Dans les années 60, j'habitais Baie-Comeau et il était venu y donner un spectacle. J'avais 11 ou 12 ans. Après la tombée du rideau, j'ai pu avoir un autographe. Brève conversation avec mes parents, il avait conclu la rencontre en me donnant un léger soufflet sur la joue gauche. L'image de cet homme plus grand que nature et de son sourire bienveillant est encore très précise en ma mémoire. Mon adolescence, je l'ai partagée entre les Beatles et Léveillée. Les Beatles, Cream, Bob Dylan, les Stones, King Crimson pour la tendance, Léveillée pour moi-même, envers et contre tous. Avec Leyrac, avec Vigneault. Bien sûr, les grands classiques reviennent souvent dans les commentaires. Bien sûr que les albums Léveillée à Paris (I et II) ont fait époque et restent en ma mémoire. Très marqué par les cordes. L'orchestration de Léveillée, toute en jazz comme dans Je viendrai mourir, interprété par Leyrac, en fait un musicien à part. Comme il a su, avec ses textes, nous emmener au bout du monde. En notes ou en verbe, c'est ce qu'il a fait. Mis panache à sa plume, nous a parlé de sa lune... Léveillée  l'acteur, le musicien, le poète, Léveillée vivra en nous jusqu'à la fin.

François Trahan

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Le dernier spectacle sur les Plaines

J'ai eu la chance d'entendre Claude Léveillée lors de son dernier spectacle sur les Plaines. Or, mon commentaire pourrait sembler contradictoire, mais lors de ce spectacle, il était plus qu'évident que M. Léveillée n'était plus physiquement en mesure de bien rendre ses chansons et à mon avis, personne ne le savait mieux que lui-même. Ce soir-là, on pouvait voir en lui toute la frustration, sentir sa profonde déception de ne plus pouvoir prendre soin de ses «immortelles». Je me souviens d'une soirée toute en douceur, mais remplie d'une intense tristesse. Il m'avait donné l'impression d'être un homme, un artiste d'une sincérité sans borne. J'espère qu'il passera l'éternité au piano...

Étienne Vachon

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Frédéric, c'est l'histoire de notre famille

J'ai 38 ans et mon frère en a 34; il se nomme Frédérick. Pour moi, la chanson de Claude Léveillé Frédéric, c'est l'histoire vraie de ma famille, en mode accéléré. Petits, nous écoutions cette chanson tant adorée par mes parents, dans le salon, en famille, et qui jouait à répétition sur le tourne-disque du salon, pendant que nous affrontions les lois de la gravité avec nos tours de Lego. Plus tard, comme dans la chanson, le souper du dimanche soir nous réunissait, avec les amis de la rue et ceux dont la table n'était pas aussi accueillante que chez nous et, en famille, nous réinventions le monde et ma mère nous servait. Plus tard encore, j'ai vécu à l'étranger, mon frère aussi, oui nous avons bu du vin pour faire sérieux (et compris plus tard qu'on pouvait en boire juste par plaisir), oui les amis sont plus que dispersés et oui, les parents prennent un coup de vieux et moi et mon frère aussi sommes devenus plus vieux, comme dans la chanson. Oui, la fête des amants ne dura qu'un printemps dans l'histoire de nos amours, comme dans la chanson. Et puis, comme dans la chanson, on a fini par s'en tailler une: une vie sans argument, une vie de bon vivant, avec nos beaux enfants et des amours solides. Quand, nous parlons de notre vie, de notre famille, oui, comme dans la chanson, je dis à mon frère Tu te rappelles... Frédérick.

Carolyne Bouffard, Bécancour

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Le plus grand

Pour moi, Claude Léveillée est le plus grand artiste québécois que je connaisse. Une soirée à un spectacle à l'Ïle d'Orléans, il m'a fait brailler de joie pendant une heure. Il est le seul artiste qui m'a fait ça.

Jones Sheehan, Québec

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Le prénom de mon fils

Le prénom de mon fils Frédéric, mon aîné, revient à Claude Léveillée. J'étais en auto, de retour à la maison, et la radio diffusait la chanson de M. Léveillée: je me fous du monde entier quand Frédéric me rappelle nos amours de nos quinze ans, nos chagrins, notre chez soi... et là, je me suis dit: tiens, ce sera le prénom de mon garçon, et ce fut le cas. Merci M. Léveillée et bon repos.

Sylvette Kadian Elias

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Le Maurice Richard de la musique

En 1955, il y avait une grande vedette qui jouait à la radio québécoise, Claude Léveillée! Le Top 10 de la radio pendant tout cet été-là. Jacques Duval était l'animateur de musique populaire, le plus en vogue. Son programme s'appelait: La chansonnette française, à CJMS, ou CKVL, je ne me souviens plus. C'était avant le FM, bien sûr! Et Claude a été le premier Québécois à battre les chansons françaises, au palmarès radiophonique. C'était le début de nos talents francophones, alors que nous n'employions même pas le mot «francophone» à l'époque. C'était le «Canadien-Français», c'était le « Maurice Richard» de la musique au Québec. Et les boîtes à chansons étaient nées!

Pauline St-Pierre, Saint-Sauveur

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Je suis en deuil

Je suis tombée en amour avec Claude Léveillée lorsque j'avais 15 ans. J'en ai 65 aujourd'hui. Ses chansons m'ont toujours bouleversée. J'ai deux chansons préférées: La légende du cheval blanc et Le rendez-vous. Mon plus beau souvenir est son spectacle à la Place des arts; il était accompagné, je crois, d'André Gagnon. J'adorais voir ce duo interpréter ensemble les pièces instrumentales de Léveillée. Je suis en deuil, mais heureuse pour lui qu'il soit délivré de corps trop usé et trop inerte!

Claire Renaud, Laval

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Un moment magique

Ce soir-là, c'était le 23 juin sur «la montagne», le super spectacle. Une fois cinq... j'avais 20 ans, ou un peu plus ou un peu moins. Charlebois, Vigneault, Ferland, Deschamps, je les connaissais bien. Léveillée, moins. Et, tout à coup, le coup de foudre, le tonnerre, la bombe: «Les Vieux Pianos» avec Robert Charlebois. Cela a été un moment magique! C'est toujours avec émotion que j'écoute ces pièces. Cette voix un peu rauque, ses mots qui chantent la vie, le bonheur, la peine et surtout, surtout le piano. Quand j'ai le cafard du pays, c'est toujours avec vos mots et votre musique, M Léveillée, que je commence mon tour du pays en musique. Vos chansons sont immortelles. Vous êtes immortel. Merci M. Léveillée

Jean-Marc Lavoie, Yaoundé, Cameroun

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Mes hommages à un grand

Quand j'étais petit, M. Léveillée m'avait conquis par son personnage de Clo-Clo. Puis, j'ai découvert ses chansons avec des paroles si belles sur une musique envoûtante. Évidemment que la chanson Frédéric m'a principalement marqué, car elle évoque le quartier où j'ai vécu et la façon de vivre dans nos familles à l'époque ainsi que le déroulement de la vie. Quand mon fils est né, il ne pouvait que s'appeler Frédéric. J'ai ensuite découvert un grand pianiste et un excellent acteur. Merci M. Léveillée pour les merveilleux moments que vous m'avez fait vivre lors de vos spectacles.

Denis Renaud

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Un souvenir d'enfance

Oh! que cette triste nouvelle de la mort de M. Léveillée me replonge dans mes souvenirs d'enfance! Toute petite, j'avais 4 ou 5 ans, je suivais des cours de chant chez Jeanne Couet (Zézette) et lors de nos spectacles, un beau grand jeune homme était notre accompagnateur au piano. Ce n'était personne d'autre que Claude Léveillée. C'est ainsi que j'ai eu le plaisir de partager la scène du Gésu (où nous avions même fait un spectacle en l'honneur du nouveau Cardinal Léger qui venait tout juste d'être reçu cardinal en ce temps-là) et également celle de l'ancien théâtre Laurier, avec ce grand homme. Son image restera toujours présente à ma mémoire. Toutes mes condoléances aux membres de sa famille, ses amis et collègues de travail. Au revoir, monsieur Léveillée. Allez maintenant écrire et inspirer la musique céleste que les anges chanteront à leur tour.

F. Savard

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Un homme de grand talent

Je me souviens que j'ai assisté à un spectacle de lui au début des années 70 à Ottawa au Vieux Clocher. Quel homme de grand talent! Il a offert une prestation magistrale qu'il a livrée avec rigueur aux spectateurs qui étaient venus le voir tout comme moi. Le Québec a perdu un de ses grands. Merci M. Léveillée!

Paul-E. Paquette

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Claude Léveillée et ma mère

Mon plus beau souvenir de Claude Léveillée ne concerne pas M. Léveillée lui-même. Je n'ai pas vraiment connu Claude Léveillée, en fait. Je suis né en 1983, je ne suis donc même pas sûr d'avoir déjà eu le bonheur de connaître sa carrière musicale et artistique de proche ou de loin. Mais je me souviens d'une scène en particulier, dans l'appartement de ma mère. Le soleil perçait les nuages, il y avait eu de nombreux orages violents. L'air sentait la terre mouillée, frais de cette brise qui souffle doucement pour chasser le temps gris. À l'époque, je vivais avec ma mère. Des parents divorcés, souvenirs connus. Je me sentais un peu perdu dans cet océan confus entre les deux parents habitant des villes différentes, partageant désormais des maisons et des univers différents. Mais, ce jour-là, ma mère était un peu bohème, poète. Elle versait de temps à autre dans ces tendances malgré la maladie, la dépression, la maniacodépression. L'humeur de ma mère était comme ces orages qui frappaient: violents, imprévisibles, et disparaissant au gré du vent. Elle n'était pas violente, seulement empreinte d'une tristesse indélébile, difficile à vivre et à gérer. On ne pouvait que l'accompagner comme le jeune garçon que j'étais le pouvait. Et puis, la radio diffusait une pièce musicale. Je vois ma mère assise dans sa chaise berçante, perdue dans ses pensées. Je suis assis sur le sofa et je lis mes bandes dessinées. Ma mère, soudainement, se lève et augmente le volume alors que M. Léveillée commence les accords de piano, et j'entends, très fort, « Je me fous du monde entier quand Frédéric me rappelle nos amours de nos quinze ans, nos chagrins, notre chez-soi... » Je la vois chanter et sourire. J'ai versé de petites larmes de bonheur. J'en verse encore. Quel beau moment de voir ma mère heureuse et chanter au son de la musique de Claude Léveillée. Bien des années plus tard, elle a décidé de s'enlever la vie. Mais je n'arrive pas à penser à autre chose que cet après-midi où la musique résonnait dans nos coeurs comme dans la pièce...

Hervé Simard

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Au revoir Clo-Clo, mon ami!

Mon meilleur souvenir de Claude Léveillée est sans aucun doute son album de Clo-Clo à la ferme. J'avais cinq ans et je l'écoutais chaque jour pour entendre Clo-Clo saluer le coq et nous raconter la ronde des bouteilles de lait. Ses chansons ont marqué mon enfance et il m'arrive encore parfois de les fredonner ou de déclamer des extraits de ses contes comme: «du fromage sur un morceau de pain, de quoi nourrir toute une armée!!»

Francine Lessard

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La magie des mots

Les chansons de Claude Léveillée ont bercé mon enfance et les fêtes de famille du côté de mon père, dans la vieille maison en planche de ma soeur. Je me souviens de Noël 1963 ou 1964, il y avait plein d'enfants dans l'immense salon, Lucie, ma cousine préférée, les parents, l'odeur du feu dans le foyer, des jeux, de la nourriture sur les tables et les chansons qui résonnaient dans le vieux phono, Ne dis rien, Avec nos yeux, Frédéric, etc.. Pour moi, c'était la découverte de la magie des mots et de la musique, d'un monde de poésie que je commençais à peine à saisir. Merci Claude, bon vent!

Denis Dufresne, Sherbrooke

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Adieu et merci!

Quand j'étais toute petite, il était déjà là, dans des émissions pour enfants. Il faisait Clo-Clo, et j'avais même assisté à un enregistrement public de l'émission, à Québec. Puis, il y a eu ses chansons, dans toute mon adolescence, qui arrivaient à me joindre même malgré mon engouement pour les Beatles et d'autres musiciens anglophones. Maintenant, je l'écoute encore souvent. Mes préférées, pas nécessairement les plus connues, sont Avec nos yeux et Par-delà les âges, qui m'émeuvent toujours autant. Bien sûr, il y aussi eu le chef-d'oeuvre Léveillée-Gagnon, qui je l'espère sera réédité.

Claire Laberge

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Il était mon idole

Que c'est triste que Claude n'ait pas pu rejouer du piano avant sa mort.  Peut-être en joue-t-il en ce moment? Pour moi, Claude s'est d'abord le Cloclo de mon enfance et par la suite : Le vieux piano et surtout Frédéric (J'ai d'ailleurs donné ce nom à mon fils). Claude était un homme plein de charme et de générosité. Un grand comédien, un diseur, un raconteur, un compositeur, un chanteur et bien sûr un très grand pianiste .Toutes ses chansons sont mes préférées. À 15 ans, j'en étais amoureuse et je le suis encore à 63 ans .C'était mon idole. Bon repos Claude.

Liliane Lafontaine

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Un souvenir indirect

Je ne sais plus en quelle année c'était, mais probablement vers 1975 à Québec. Jeunes parents, mari étudiant, budget serré, très serré, j'avais réuni l'argent nécessaire à l'achat de billets pour le spectacle de Claude Léveillée au Grand Théâtre. Je me souviens que ce soir-là, il avait testé une mélodie qui ressemblait à de la pluie. Évidemment, mon mari et moi n'avions pas de sous pour aller prendre un café après. Comme nous mettions le pied sur le terrain du Grand Théâtre, un billet de 10 $ se trouve là, à mes pieds, bien plié. Ce soir-là, au café, mon mari m'a dit que j'étais la chance de sa vie. Bon, depuis il est là-bas et moi, ici, mais bon. Léveillée pour toujours.

Lise Boileau

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Salut!

La décennie 60 à son zénith. Un fauteuil berçant sa mélancolie dans la pénombre d'un salon jaune et bleu. Un spleen à vous chavirer le coeur et l'esprit. De grandes années qui nous ont offert un grand homme en devenir. Merci Léveillée. Salut!

François Langlois

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Il me rappelait mon père

L'annonce du décès de Claude Léveillée suscite en moi une grande tristesse. En plus d'être un auteur-compositeur-interprète incomparable, l'un des premiers que j'ai découverts et aimés dans ma jeunesse, il m'a touchée à son insu d'une façon beaucoup plus personnelle : il m'a souvent et beaucoup fait penser à mon père que j'ai très peu connu, mais qui, comme Claude Léveillée, aimait la musique, et en particulier, le piano. Claude Léveillée ressemblait à mon père, traits semblables, même génération, même charisme, et surtout, même sérénité lorsqu'il était au piano. J'ai souvent pleuré en voyant et en entendant Léveillée, il venait me toucher droit au coeur. À mes yeux, la chanson la plus prenante de Claude Léveillée : Emmène-moi au bout du monde.

Viviane Roy

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Je me rappelle...

Je me revois au Cégep de Jonquière (1972) c'était soir de spectacle de Claude Léveillée à la Salle François-Brassard, j'avais un cours ce soir-là tout près de la salle et tout à coup, à la sortie de mon cours, je circule dans le Cégep autour de la Salle et j'entends comme en écho la si belle chanson de Claude Léveillée « Frédéric ». C'était magique, on aurait dit que la musique fusait de partout. Je me suis approchée de la porte au balcon, j'ai jeté un coup d'oeil et je l'ai regardé comme cela  chantant et s'accordant au piano...divin! Je n'ai jamais oublié et très souvent lorsque les gens parlent de Claude Léveillée, je leur raconte ce moment et cette fois-ci je voulais le partager avec vos lecteurs.

Lisette Gaudreault, Jonquière

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Je salue un géant

Je n'avais que six ans. Ma mère possédait un des premiers albums trente-trois tours de Claude; on y voyait un gros plan de son visage en noir et blanc. Je scrutais son profil, magnifique, et j'écoutais, hypnotisée, émue, recueillie, en silence; malgré mon jeune âge, j'ai vibré à sa poésie, à son piano, à sa sensibilité. C'est un choc dont je ne me suis - heureusement - jamais remise. Les premières notes de Ne dis rien me font encore frémir. Aujourd'hui, je salue un géant que j'ai longtemps cru immortel. Heureusement, sa musique et ses mots, eux, sont éternels. Merci, Claude.

Louise Pedneault

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À sa douce mémoire

L'oeuvre entière de Claude Léveillée m'a, depuis toujours, profondément émue, charmée et bouleversée. Sa poésie demeurera inaltérable! Je conserverai à jamais le meilleur des souvenirs. J'adresse mes pensées, empreintes de sympathie, à tous ceux qui ont eu le privilège de le côtoyer de près. De tout coeur.

Lise Blondeau, Montréal

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Il m'a ouvert l'esprit sur la musique

Toute mon enfance ma mère a chanté en faisant le ménage, en marchant, en arrosant ses plantes, en se couchant, en se lavant... Elle chantait tous les classiques que mon grand-père lui-même chantait et parfois le dimanche matin elle nous réveillait, ma soeur et moi, en fracassant notre porte de chambre en dansant chantant et passant la balayeuse avec un fond très puissant des Rolling Stones. Des réveils très ''rock'' pour une petite fille de sept ans. Ma mère est une mère très conventionnelle pour ceux qui ne la connaissent pas. Elle prépare des tables très chics pour Noël avec un petit air de musique traditionnelle du temps des fêtes, avec des olives dans des petits plats et la vaisselle est faite aussitôt que les invités sont partis. Elle n'est pas très flamboyante en public et il n'y a que son entourage très rapproché qui n'est pas surpris qu'elle soit allée à un spectacle de Led Zeppelin quand elle était jeune. Je trouvais toujours très ennuyants les moments où ses amis venaient souper parce qu'elle ne mettait pas de musique rock qui nous faisaient tous bouger. En pleine crise d'adolescence, je prenais des pauses lors des soupers pour aller écouter un peu de musique punk dans mon ''discman'' parce que je trouvais ses classiques très ennuyant. Elle ne mettait que du Jesse Cook, Buena Vista Social Club ou pire Claude Léveillée. Lors de ma première année au CÉGEP, j'ai dû quitter ma ville natale de Sorel-Tracy pour déménager au Saguenay. Le premier long congé d'école, je suis revenue parce que je m'ennuyais un peu de ma maman spéciale. Lors d'une conversation téléphonique pour planifier ce week-end, elle me demande toute énervée si je veux l'accompagner à un spectacle de Claude Léveillée cette fin de semaine précisément. Je lui dis oui, plus pour lui faire plaisir que parce que j'y voyais un quelconque intérêt. Le soir du spectacle, avec ma soeur et des amis de ma mère, toute la salle semblait assez excitée de voir le Clown Cloclo. J'étais sans aucun doute la plus jeune de la salle et n'étais pas particulièrement intéressée par ce genre de spectacle '' trop calme avec un piano et une seule voix''. Lorsque Cloclo est arrivé sur scène pour jouer tous les classiques que j'avais entendus à plusieurs reprises lors des soupers, à toutes ses occasions où je n'y avais pas trouvé d'intérêt, j'ai eu le souffle coupé. Toutes ces années, j'étais dans l'erreur, les rockeurs n'ont pas nécessairement des guitares à la main, ils peuvent jouer du piano et chanter doucement ou passionnément sans avoir à mettre tout ces effets pour avoir à transmettre leurs émotions. J'ai ce souvenir de Claude Léveillée qui m'ouvre l'esprit sur la musique. J'ai surtout ce souvenir d'avoir compris ce que ma mère avait à nous chanter ces chansons, d'avoir compris toute une partie de mon enfance et d'avoir assisté à un des meilleurs spectacles de ma vie en compagnie de ma maman rockeuse.

Sophie Cournoyer

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Un monument québécois

Plusieurs années après avoir connu la gloire, Claude s'est produit dans une toute petite pièce d'une maison de Les Cèdres. Après un copieux repas le petit public que nous étions, avons été invités à passer au salon pour le café. Claude avec son immense talent et toute la chaleur de sa voix nous a littéralement envoûtés. Quel grand nom de la chanson accepterait aujourd'hui de se produire dans un espace aussi intimiste.  Voilà qui était Claude Léveillée : humble, chaleureux et généreux. J'ai la gorge serrée, un autre monument québécois qui est parti. Un autre deuil pas facile.

Lisette Giroux

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Un héritage musical magistral

Mon plus beau souvenir de Claude Léveillée est de loin « La légende du cheval blanc ». Quelle femme n'a jamais rêvé qu'on lui chante cette magnifique chanson? Je garde également un excellent souvenir de sa participation à « une fois cinq ». Les deux 33 tours de ce spectacle désormais légendaire jouaient très souvent chez moi quand j'étais petite. Merci Monsieur Léveillée pour le magistral héritage musical que vous nous léguez!

Marie-Andrée Piché

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Ma source d'inspiration

Ce que je retiens de cet homme, c'est l'une de mes sources principales qui m'a le mieux orienté à connaître l'histoire de la chanson québécoise. À l'époque, j'ai possédé quelques cassettes et disques de vinyle 33 tours, surtout son premier disque (première édition rare à trouver). Puisque je n'étais pas né à l'époque, j'aurais aimé figurer parmi les 400 000 personnes sur le Mont-Royal en 1976 (une fois cinq) pour vivre cette période souverainiste. Vos « Vieux pianos », « Frédéric », « Gigue et jazz » et quelques autres ont transformé ma façon de jouer du piano que je pratiquais pourtant depuis plus de 10 ans, sans partition, ni de cours de piano. Reposez en paix, monsieur. L'annonce de votre triste départ fut un choc. C'est la mort de l'une de mes plus grandes idoles. J'exprime ma plus profonde tristesse devant la disparition d'un des plus grands monuments de la chanson québécoise. Que j'aurais aimé assister à l'historique spectacle une fois cinq, mais je n'étais né à l'époque. À 20 ans et demi, je reste fidèle à votre musique comme vous le savez depuis longtemps. Vos chansons au piano resteront ma source principale d'inspiration de mon jeu autodidacte.

Jean-Christophe Mercier

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Depuis que j'ai 12 ans

C'est avec une grande tristesse que j'ai appris la mort de Monsieur Léveillée. Mon plus beau souvenir est le suivant : lorsque j'avais 12 ans, ma mère m'a fait découvrir l'oeuvre de Claude Léveillée et je l'aimais beaucoup. J'ai demandé à ma mère si cela était possible de lui écrire une lettre. Ce que nous avons fait. Nous l'avons fait parvenir à sa compagnie de disque et ces derniers lui ont remis. Quelques semaines plus tard, une réponse m'est parvenue! Une lettre écrite de sa main! J'étais très émue de recevoir cette lettre. Je l'ai gardée précieusement et je garde en tête sa dernière phrase qui était la suivante : Bonne et longue route sur cette petite planète appelée la terre! Merci Monsieur Léveillée!

Marie-France Godin

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Le temps d'une chanson

Je travaille avec une dizaine d'adultes ayant de lourdes limitations physiques et intellectuelles. Je les rencontre une heure toutes les deux semaines pour les faire chanter. Ils adorent ces rencontres, car ensemble, nous projetons toujours une ou deux visites annuelles pour offrir un concert (!) dans une Maison d'hébergement, C'est une sortie attendue avec frénésie pour ce groupe. Sur l'album qui leur a été remis et qu'ils utilisent toujours, la première chanson que nous interprétons c'est « Le temps d'une chanson » de Claude Léveillée. Cette chanson-là, ils la demandent à chaque rencontre. Pour moi, c'est l'une des raisons qui me poussent à continuer mes visites!

Hélène Lessard

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Depuis toujours

J'ai pleuré à l'annonce de la mort de deux personnalités publiques dans ma vie. Le premier étant René Lévesque et maintenant vous, mon cher Claude. Depuis mon adolescence, j'ai aimé passionnément votre oeuvre. J'ai encore vos « 33 tours ». Que ce soit comme compositeur, chanteur, pianiste, comédien, vous avez su trouver en moi une admiratrice. Je  vous revois  encore lors de votre passage à Star Académie; la passion qui émanait de vous était si communicatrice. Je vous aimerai toujours

Diane Lalongo, Montréal

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Deux souvenirs

Mes deux chansons de Claude Léveillée sont Frédéric et La légende du Chaval Blanc. J'ai eu la chance de le voir en spectacle avec ma mère, avant son AVC. Nous étions assis à la première rangée et nous sentions tout l'amour qu'il portait à sa musique, son piano et son public. Quel grand musicien vient de nous quitter! Le deuxième souvenir est lors de son passage à l'émission Belle et Bum,lorsqu'il écoutait Pierre Lapointe pendant sa prestation. Il était là, yeux fermés et mains en prière, à écouter jouer Pierre Lapointe et il semblait heureux qu'enfin un chanteur joue et chante au piano comme lui le faisait... Il semblait se revoir jeune... Adieu M. Léveillée!

Michèle Gagné

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Un choc

J'avoue avoir eu un choc ce matin en apprenant la triste nouvelle du décès de Claude Léveillée. J'ai grandi en écoutant sa musique, ma mère étant une de ses ferventes admiratrices, et j'ai aimé ses chansons dès mon enfance. Parmi celles que je préfère, il y a la merveilleuse « Mon pays », et puis « Ma chambre d'hôtel » (je ne suis pas certaine du titre...), « Les rendez-vous », « Emmène-moi au bout du monde » « La scène », ah et combien d'autres; je les nommerais toutes à vrai dire! Ses musiques, ses paroles, sa voix et son interprétation en faisaient un artiste magnifique, complet et très sensible. Il me manquera beaucoup.

Marie-Claude Matte

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Un souvenir indirect

Je ne sais plus en quelle année c'était, mais probablement vers 1975 à Québec. Jeunes parents, mari étudiant, budget serré, très serré, j'avais réuni l'argent nécessaire à l'achat de billets pour le spectacle de Claude Léveillée au Grand Théâtre. Je me souviens que ce soir-là, il avait testé une mélodie qui ressemblait à de la pluie. Évidemment, mon mari et moi n'avions pas de sous pour aller prendre un café après. Comme nous mettions le pied sur le terrain du Grand Théâtre, un billet de 10 $ se trouve là, à mes pieds, bien plié. Ce soir-là, au café, mon mari m'a dit que j'étais la chance de sa vie. Bon, depuis il est là-bas et moi, ici, mais bon. Léveillée pour toujours.

Lise Boileau

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Salut!

La décennie 60 à son zénith. Un fauteuil berçant sa mélancolie dans la pénombre d'un salon jaune et bleu. Un spleen à vous chavirer le coeur et l'esprit. De grandes années qui nous ont offert un grand homme en devenir. Merci Léveillée. Salut!

François Langlois

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Il me rappelait mon père

L'annonce du décès de Claude Léveillée suscite en moi une grande tristesse. En plus d'être un auteur-compositeur-interprète incomparable, l'un des premiers que j'ai découverts et aimés dans ma jeunesse, il m'a touchée à son insu d'une façon beaucoup plus personnelle : il m'a souvent et beaucoup fait penser à mon père que j'ai très peu connu, mais qui, comme Claude Léveillée, aimait la musique, et en particulier, le piano. Claude Léveillée ressemblait à mon père, traits semblables, même génération, même charisme, et surtout, même sérénité lorsqu'il était au piano. J'ai souvent pleuré en voyant et en entendant Léveillée, il venait me toucher droit au coeur. À mes yeux, la chanson la plus prenante de Claude Léveillée : Emmène-moi au bout du monde.

Viviane Roy

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Un héritage musical magistral

Mon plus beau souvenir de Claude Léveillée est de loin « La légende du cheval blanc ». Quelle femme n'a jamais rêvé qu'on lui chante cette magnifique chanson? Je garde également un excellent souvenir de sa participation à « une fois cinq ». Les deux 33 tours de ce spectacle désormais légendaire jouaient très souvent chez moi quand j'étais petite. Merci Monsieur Léveillée pour le magistral héritage musical que vous nous léguez!

Marie-Andrée Piché

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Ma source d'inspiration

Ce que je retiens de cet homme, c'est l'une de mes sources principales qui m'a le mieux orienté à connaître l'histoire de la chanson québécoise. À l'époque, j'ai possédé quelques cassettes et disques de vinyle 33 tours, surtout son premier disque (première édition rare à trouver). Puisque je n'étais pas né à l'époque, j'aurais aimé figurer parmi les 400 000 personnes sur le Mont-Royal en 1976 (une fois cinq) pour vivre cette période souverainiste. Vos « Vieux pianos », « Frédéric », « Gigue et jazz » et quelques autres ont transformé ma façon de jouer du piano que je pratiquais pourtant depuis plus de 10 ans, sans partition, ni de cours de piano. Reposez en paix, monsieur. L'annonce de votre triste départ fut un choc. C'est la mort de l'une de mes plus grandes idoles. J'exprime ma plus profonde tristesse devant la disparition d'un des plus grands monuments de la chanson québécoise. Que j'aurais aimé assister à l'historique spectacle une fois cinq, mais je n'étais né à l'époque. À 20 ans et demi, je reste fidèle à votre musique comme vous le savez depuis longtemps. Vos chansons au piano resteront ma source principale d'inspiration de mon jeu autodidacte.

Jean-Christophe Mercier

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Depuis que j'ai 12 ans

C'est avec une grande tristesse que j'ai appris la mort de Monsieur Léveillée. Mon plus beau souvenir est le suivant : lorsque j'avais 12 ans, ma mère m'a fait découvrir l'oeuvre de Claude Léveillée et je l'aimais beaucoup. J'ai demandé à ma mère si cela était possible de lui écrire une lettre. Ce que nous avons fait. Nous l'avons fait parvenir à sa compagnie de disque et ces derniers lui ont remis. Quelques semaines plus tard, une réponse m'est parvenue! Une lettre écrite de sa main! J'étais très émue de recevoir cette lettre. Je l'ai gardée précieusement et je garde en tête sa dernière phrase qui était la suivante : Bonne et longue route sur cette petite planète appelée la terre! Merci Monsieur Léveillée!

Marie-France Godin

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Merci Léveillée

J'ai 13 ans. Je vais au collège l'Assomption. Notre professeur de français décide de nous enseigner la matière en utilisant l'oeuvre des chansonniers québécois et français, tout en faisant la guerre à ce qu'il appelle alors le « franglais » (il était précurseur de la loi 101 qui allait arriver plus de 10 ans plus tard). C'est là que je découvre Léveillée, en 1966. « Je me fous du monde entier quand Frédéric me rappelle les amours de nos 20 ans ... » : ça m'a fait rêver. Je la connais encore par coeur. Et bien d'autres. Et que dire du spectacle de la Saint-Jean sur la montagne avec les autres grands. Merci Léveillée.

René Charbonneau, Greenfield Park

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Un artiste, d'abord

La chanson Frédéric est celle qui me vient en tête et me rappelle mon enfance. Une très belle chanson qui jouait beaucoup à la radio dans les années 70. Un artiste unique et il était avant tout, un artiste.

Stéphanie Roy

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Une leçon de musique romantique

Oui, j'ai conservé parmi mes souvenirs « Il était une fois dans un piano » que j'avais enregistré sur bande vidéo et que je regardais à répétition avec mes filles. C'était il y a longtemps déjà... Merci Claude pour cette belle leçon de musique romantique

Alain Lévesque

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Un talent inouï

Un musicien hors du commun, un compositeur maniant les plus beaux mots, un comédien possédant tous les registres, bref un talent inouï. Allez, au revoir, sur ton Cheval blanc....

André Poisson, Bécancour