1> LE COURTIER

1> LE COURTIER

Les courtiers en ligne doivent être enregistrés auprès de l'Autorité des marchés financiers (AMF), ainsi que du Fonds canadien de protection des épargnants. Celui-ci protège les investisseurs à hauteur d'un million de dollars pour l'ensemble des comptes admissibles. Cette protection couvre la faillite du courtier, mais elle ne prend pas en charge les pertes dues aux variations boursières.

2> LES CLASSEMENTS

Des firmes de consultants et des médias publient régulièrement leurs classements des courtiers en ligne. Cela peut constituer de bonnes indications quand elles en présentent le détail. Cependant, ces classements ne sont pas forcément ceux que feraient les investisseurs, note Élissar Toufaily. En réalisant sa thèse sur les courtiers en ligne, la chercheuse a obtenu des résultats assez différents des évaluations médiatisées, «hormis pour les prix» précisent-elle. Mme Toufaily croit que ces classements ne tiennent pas suffisamment compte de l'avis des investisseurs.

3> L'ERGONOMIE

Avant de se lancer, rien de tel que d'essayer les différentes plateformes de courtage à escompte. Plusieurs courtiers proposent une version d'essai sur leur site web. L'investisseur peut ainsi tester les fonctionnalités offertes. Il peut comparer la facilité d'utilisation des plateformes de transaction, en utilisant son arme favorite d'investisseur : la subjectivité.