Wall Street a fini sans direction mercredi une séance hésitante, marquée par le recul des prix du pétrole et un nouveau diagnostic de l'économie plutôt fade fourni par la Réserve fédérale: le Dow Jones a gagné 0,13% et le Nasdaq a cédé 0,34%.

Selon des résultats définitifs, l'indice vedette Dow Jones a pris 24,45 points à 18 372,12 points, alignant un deuxième record en deux jours, mais le Nasdaq, à dominante technologique, a reculé de 17,09 points à 5005,73 points.

L'indice élargi S&P 500 est resté pratiquement stable, gagnant juste 0,29 point ou 0,01% à 2152,43 points, assez pour atteindre un troisième sommet d'affilée.

«Les marchés avaient besoin d'une consolidation», a déclaré Peter Cardillo, chez First Standard Financial Company.

En outre, a-t-il dit, «on a eu le Livre beige (de la Réserve fédérale) qui a fait état des incertitudes liées au Brexit», la sortie de l'Union européenne que la nouvelle Première ministre britannique Theresa May doit désormais négocier.

Selon la Fed, dont le comité de politique monétaire se réunit dans deux semaines, «l'activité économique a continué de croître à un rythme modeste» entre la mi-mai et la fin juin, et les perspectives aux Etats-Unis sont «généralement positives».

Par ailleurs les indices ont été tirés vers le bas par le net recul des prix du pétrole, à la suite de chiffres décevants du ministère de l'Energie américain montrant une progression des stocks de produits pétroliers et une petite reprise de la production nationale de brut.

Alan Skrainka, chez Cornerstone Wealth Management, a souligné que le marché se préparait désormais à suivre les annonces des grandes entreprises, qui commencent cette semaine à publier leurs résultats du deuxième trimestre.

«Avec plus de la moitié du chiffre d'affaires des membres du S&P réalisé à l'étranger, une certaine faiblesse constatée hors des Etats-Unis représentera le principal handicap», a prévenu M. Skrainka.

Le géant de la distribution en ligne Amazon a cédé 0,75% après avoir annoncé une progression de 60% sur un an des commandes enregistrées durant sa journée spéciale de promotions «Prime Day», organisée mardi sur l'ensemble de ses marchés pour les abonnés à son service «Prime».

Wall Street a fini sans direction mercredi une séance hésitante, marquée par le recul des prix du pétrole et un nouveau diagnostic de l'économie plutôt fade fourni par la Réserve fédérale: le Dow Jones a gagné 0,13% et le Nasdaq a cédé 0,34%.

Selon des résultats définitifs, l'indice vedette Dow Jones Industrial Average a pris 24,45 points à 18.372,12 points, alignant un deuxième record en deux jours, mais le Nasdaq, à dominante technologique, a reculé de 17,09 points à 5.005,73 points.

L'indice élargi S&P 500 est resté pratiquement stable, gagnant juste 0,29 point ou 0,01% à 2.152,43 points, assez pour atteindre un troisième sommet d'affilée.

«Les marchés avaient besoin d'une consolidation», a déclaré Peter Cardillo, chez First Standard Financial Company.

En outre, a-t-il dit, «on a eu le Livre beige (de la Réserve fédérale) qui a fait état des incertitudes liées au Brexit», la sortie de l'Union européenne que la nouvelle Première ministre britannique Theresa May doit désormais négocier.

Selon la Fed, dont le comité de politique monétaire se réunit dans deux semaines, «l'activité économique a continué de croître à un rythme modeste» entre la mi-mai et la fin juin, et les perspectives aux Etats-Unis sont «généralement positives».

Par ailleurs les indices ont été tirés vers le bas par le net recul des prix du pétrole, à la suite de chiffres décevants du ministère de l'Energie américain montrant une progression des stocks de produits pétroliers et une petite reprise de la production nationale de brut.

Alan Skrainka, chez Cornerstone Wealth Management, a souligné que le marché se préparait désormais à suivre les annonces des grandes entreprises, qui commencent cette semaine à publier leurs résultats du deuxième trimestre.

«Avec plus de la moitié du chiffre d'affaires des membres du S&P réalisé à l'étranger, une certaine faiblesse constatée hors des Etats-Unis représentera le principal handicap», a prévenu M. Skrainka.

Le géant de la distribution en ligne Amazon a cédé 0,75% après avoir annoncé une progression de 60% sur un an des commandes enregistrées durant sa journée spéciale de promotions «Prime Day», organisée mardi sur l'ensemble de ses marchés pour les abonnés à son service «Prime».

Le canadien Valeant, en butte depuis un an à des accusations de manipulations comptables, a dégringolé de 6,89% après diverses informations selon lesquelles son ancien patron Michael Pearson se serait débarrassé de titres pour près de 100 millions US, tandis que deux fonds d'investissement se seraient l'un totalement retiré et l'autre engagé dans de nouveaux paris à la baisse.

Le constructeur automobile Fiat-Chrysler a cédé 1,2% après l'annonce d'un programme de récompenses visant à l'aider à identifier des failles dans ses logiciels. Les informaticiens signalant des défauts pourraient gagner jusqu'à 1500 dollars.

L'indice composé S&P/TSX de la Bourse de Toronto a avancé de 16,13 points pour clôturer à 14 493,80 points, soutenu par les titres du secteur des matériaux, qui comprennent ceux de plusieurs sociétés aurifères.

Le dollar canadien s'est apprécié de 0,26 cent US à 77,01 cents US, après que la Banque du Canada eut indiqué qu'elle maintenait son taux d'intérêt directeur inchangé, tout en révisant ses prévisions de croissance économique pour le pays.

À la Bourse des matières premières de New York, le cours du pétrole brut a perdu 2,05 $ US à 44,75 $ US le baril, tandis que le prix du lingot d'or a avancé de 8,30 $ US à 1343,60 $ US l'once et que celui du cuivre a gagné 3 cents US à 2,24 $ US la livre.