Amaya (t.aya)  a été secouée en Bourse mardi après avoir révisé à la baisse ses prévisions pour l'exercice en raison de la vigueur du billet vert, qui gruge le pouvoir d'achat de ses clients.

Sur le parquet torontois, l'action de la société québécoise spécialisée dans le jeu en ligne a touché un creux des 52 dernières semaines, à 19,93$, avant de clôturer à 21,10$, en baisse de 32,44%, ou 10,13$ «Le raffermissement du dollar américain par rapport à certaines devises, principalement l'euro, a donné lieu à une baisse d'environ 19% du pouvoir d'achat de nos clients», a analysé le président et chef de la direction d'Amaya, David Baazov.

Cette situation a eu une incidence négative plus importante qu'anticipée sur le chiffre d'affaires de l'exploitant des populaires plateformes de jeu PokerStars et Full Tilt Poker.

Pour l'exercice 2015, les prévisions de bénéfices ont ainsi été réduites à une fourchette de 1,66$ à 1,75$ par action, comparativement à la prévision précédente d'entre 1,76$ et 2,00$ par action.

Les revenus devraient pour leur part varier entre 1,29 milliard et 1,34 milliard, ce qui représente un recul d'environ 13 pour cent par rapport à la prévision précédente.

Par ailleurs, Amaya a récemment réduit l'accès à son site de paris sportifs aux États-Unis à la suite de préoccupations des autorités réglementaires dans certains États, ce qui affecte les revenus.

L'entreprise a fait son entrée dans le secteur du pari sportif quotidien en faisant l'acquisition, en août, de la société Victiv, rebaptisée depuis StarsDraft.

Malgré tout, l'entreprise s'estime en mesure de pouvoir générer davantage de flux de trésorerie l'an prochain tout en élargissant sa clientèle aux quatre coins du globe.

Amaya a abaissé ses perspectives alors qu'elle dévoilait ses résultats du troisième trimestre, qui ont été conformes aux attentes en ce qui a trait au bénéfice ajusté, mais en deçà des prévisions pour les revenus.

Pour le trimestre terminé le 30 septembre dernier, l'entreprise a généré des revenus de 324,7 millions, en hausse de 8,4% par rapport à la même période l'an dernier.

Sur une base ajustée, en excluant les éléments non récurrents, les profits ont été de 90,5 millions, ou 44 cents par action, comparativement à 79,8 millions, ou 38 cents par action, lors du troisième trimestre de 2014.

Les analystes sondés par Thomson Reuters tablaient en moyenne sur un profit ajusté par action de 44 cents et sur des revenus de 362 millions.

Amaya a temporairement suspendu ses activités réalisées avec de l'argent réel au Portugal en juillet, en raison d'un nouveau régime de réglementation, et en Grèce, à cause de la morosité économique.

L'an dernier, la société avait généré des revenus de 9 millions US dans ces deux pays ainsi que dans les 30 autres endroits où ses activités ont été suspendues.

En dépit de la révision à la baisse des prévisions, l'analyste de Kevin Wright, de Cannacord Genuity, recommande toujours l'achat du titre d'Amaya.

«Les résultats inférieurs aux attentes du côté du poker sont attribuables aux devises, mais la croissance des jeux de casino demeure intacte, ce qui devrait générer de la croissance», souligne-t-il dans une note.

Amaya est toujours visée par une enquête de l'Autorité des marchés financiers du Québec sur certaines transactions entourant son acquisition de PokerStars et Full Tilt Poker, en juin 2014, au coût de 4,9 milliards.

Sur le parquet torontois, l'action de la société québécoise spécialisée dans le jeu en ligne a touché un creux des 52 dernières semaines, à 19,93 $, avant de clôturer à 21,10$, en baisse de 32,44%, ou 10,13$ «Le raffermissement du dollar américain par rapport à certaines devises, principalement l'euro, a donné lieu à une baisse d'environ 19% du pouvoir d'achat de nos clients», a analysé le président et chef de la direction d'Amaya, David Baazov.

Cette situation a eu une incidence négative plus importante qu'anticipée sur le chiffre d'affaires de l'exploitant des populaires plateformes de jeu PokerStars et Full Tilt Poker.

Pour l'exercice 2015, les prévisions de bénéfices ont ainsi été réduites à une fourchette de 1,66$ à 1,75$ par action, comparativement à la prévision précédente d'entre 1,76$ et 2,00$ par action.

Les revenus devraient pour leur part varier entre 1,29 milliard et 1,34 milliard, ce qui représente un recul d'environ 13% par rapport à la prévision précédente.

Par ailleurs, Amaya a récemment réduit l'accès à son site de paris sportifs aux États-Unis à la suite de préoccupations des autorités réglementaires dans certains États, ce qui affecte les revenus.

L'entreprise a fait son entrée dans le secteur du pari sportif quotidien en faisant l'acquisition, en août, de la société Victiv, rebaptisée depuis StarsDraft.

Malgré tout, l'entreprise s'estime en mesure de pouvoir générer davantage de flux de trésorerie l'an prochain tout en élargissant sa clientèle aux quatre coins du globe.

Amaya a abaissé ses perspectives alors qu'elle dévoilait ses résultats du troisième trimestre, qui ont été conformes aux attentes en ce qui a trait au bénéfice ajusté, mais en deçà des prévisions pour les revenus.

Pour le trimestre terminé le 30 septembre dernier, l'entreprise a généré des revenus de 324,7 millions, en hausse de 8,4% par rapport à la même période l'an dernier.

Sur une base ajustée, en excluant les éléments non récurrents, les profits ont été de 90,5 millions, ou 44 cents par action, comparativement à 79,8 millions, ou 38 cents par action, lors du troisième trimestre de 2014.

Les analystes sondés par Thomson Reuters tablaient en moyenne sur un profit ajusté par action de 44 cents et sur des revenus de 362 millions.

Amaya a temporairement suspendu ses activités réalisées avec de l'argent réel au Portugal en juillet, en raison d'un nouveau régime de réglementation, et en Grèce, à cause de la morosité économique.

L'an dernier, la société avait généré des revenus de 9 millions US dans ces deux pays ainsi que dans les 30 autres endroits où ses activités ont été suspendues.

En dépit de la révision à la baisse des prévisions, l'analyste de Kevin Wright, de Cannacord Genuity, recommande toujours l'achat du titre d'Amaya.

«Les résultats inférieurs aux attentes du côté du poker sont attribuables aux devises, mais la croissance des jeux de casino demeure intacte, ce qui devrait générer de la croissance», souligne-t-il dans une note.

Amaya est toujours visée par une enquête de l'Autorité des marchés financiers du Québec sur certaines transactions entourant son acquisition de PokerStars et Full Tilt Poker, en juin 2014, au coût de 4,9 milliards.