Les frais liés à la vente de la division des pâtes et papiers du Groupe GLV (T.GLV.B) ont eu une incidence sur la rentabilité de l'entreprise, qui a affiché au deuxième trimestre une perte nette attribuable aux actionnaires de 2,5 millions de dollars, ou 6 cents par action.

À la même période l'année dernière, la société qui oeuvre principalement dans les secteurs des pâtes et papiers et du traitement des eaux avait engrangé des profits de 1,4 million, ou 3 cents par action.

De leur côté, les revenus du Groupe GLV ont affiché une légère progression de 0,8% pour s'établir à 151 millions.

Pour la période de trois mois terminée le 30 septembre dernier, le bénéfice ajusté avant intérêts, impôts et amortissements s'est quant à lui chiffré à 5,3 millions, en baisse de 10% par rapport au deuxième trimestre de 2013.

En date du 30 septembre dernier, le carnet de commandes de la société québécoise était de 359 millions - un montant similaire à celui du trimestre précédent. Toutefois, à taux de change constant, le carnet de commandes a diminué de 4,7 millions.

Plus tôt cette semaine, la famille fondatrice de GLV avait accepté d'allonger 67 millions pour mettre la main sur sa division des pâtes et papiers, soit 2 millions de plus que prévu dans l'entente initiale.

Cette augmentation de la proposition de la famille Verreault fait suite aux démarches de l'entreprise spécialisée dans le traitement de l'eau et dans la foresterie pour trouver une meilleure offre.

GLV a contacté 25 acheteurs potentiels, dont neuf qui ont obtenu de l'information additionnelle après avoir signé des accords de confidentialité.

Si la transaction obtient le feu vert des actionnaires, GLV changera de nom pour Ovivo. Le produit de la vente sera utilisé pour effectuer des acquisitions qui lui permettront de faire croître ses activités de traitement de l'eau.