Les deux parties ont fait «une bonne affaire», estime le ministre des Finances Nicolas Marceau. «Le contrôle de l'entreprise reste au Québec, et la transaction est neutre pour l'économie du Québec», a-t-il commenté. Il ne voit donc rien de négatif dans la transaction. Et les pertes pour la Caisse en raison des décisions passées? «Je ne commenterai pas les décisions du passé», a-t-il répondu.

L'opposition libérale n'a pas souhaité réagir. «Nous avons déjà dit qu'il ne fallait pas s'ingérer dans les décisions de la Caisse, et nous le pensons encore», a affirmé un porte-parole. De son côté, la Coalition avenir Québec a a indiqué souhaiter « que la Caisse investisse davantage au Québec. On espère que cette vente n'aura pas pour effet de désinvestir encore plus la Caisse du Québec».