Les employés du constructeur automobile Opel semblent disposés à contribuer à des réductions de coûts d'une valeur annuelle de 390 millions de dollars US pour que la filiale européenne de General Motors (GM) puisse être vendue à un consortium co-dirigé par le fabricant canadien de pièces Magna.

Les travailleurs cherchent ainsi à éviter à tout prix des mises à pied et des fermetures d'usines en Europe.

L'accord des travailleurs au plan de refonte est conditionnel à la vente de la compagnie Adam Opel GmbH au consortium principalement formé de Magna International [[|ticker sym='T.MG.A'|]] et de la banque russe Sberbank. Les salariés détiendraient 10% des actions de la nouvelle entreprise.

L'assemblée des actionnaires de GM sera réunie plus tard ce mardi, à Detroit, afin de décider si le plan mérite ou non la sanction finale.