La Banque Royale du Canada vient de déposer une poursuite de plus de 2,3 M$ contre l'ex-quart-arrière des Falcons d'Atlanta, accusé d'avoir organisé des combats de chiens.

La Banque Royale du Canada vient de déposer une poursuite de plus de 2,3 M$ contre l'ex-quart-arrière des Falcons d'Atlanta, accusé d'avoir organisé des combats de chiens.

La Banque Royale, qui possède des succursales aux États-Unis, affirme que le récent plaidoyer de culpabilité déposé par Vick, et l'impact de cette affaire sur le reste de sa carrière d'athlète, l'empêche de rembourser un prêt.

Vick a emprunté 2,5 M$ en janvier dernier dans le but d'effectuer des investissements dans le secteur immobilier, a laissé savoir la Banque Royale dans des documents déposés en cour aux États-Unis.

Dans la poursuite, on peut lire que selon les termes du prêt, un changement d'emploi qui pourrait affecter les revenus de Vick peut constituer une atteinte à l'entente entre la banque et l'ex-vedette des Falcons.

Le mois dernier, Michael Vick a plaidé coupable à des accusations concernant son implication dans une affaire de combats de chiens.

Il fait face à une peine de 5 ans de prison. Il doit recevoir sa sentence en décembre. Il a depuis été suspendu par la NFL et les Falcons et ne reçoit pas de salaire. Il a aussi perdu tous ses contrats de commandites, dont un important contrat avec Nike.